Selon le dernier rapport de l'agence humanitaire, les violences s'étendent au Sud-Kivu, tandis que les « crimes contre les civils », notamment les viols, les meurtres, les pillages et les destructions d'habitations, se poursuivent dans des zones à l'est et au nord de Goma, la capitale du Nord-Kivu.
Les violences « augmentent et vont très probablement continuer à augmenter », a prévenu Max Hadorn, soulignant que les femmes et les enfants sont les plus exposés. « Nous n'avons pas de chiffres concernant les enfants-soldats, mais nous avons constaté récemment qu'ils sont en augmentation. De même que les violences sexuelles. »