Comme à Paris, Berlin, Barcelone, Rome ou New York, Beyrouth a célébré hier soir sa fête de la Musique, transformant six sites, certains historiques, en scènes de rap, folk, rock, funk, jazz, techno ou hip-hop. Le public, essentiellement jeune, a envahi la ville à partir de 20 heures. Le jardin Samir Kassir, sous le regard complice de sa sculpture éternelle, la place des Martyrs, place de toutes les célébrations, le mystérieux Dôme, les magnifiques thermes romains, l'escalier Saint-Nicolas et les dynamiques ruelles de Hamra ont accueilli jusqu'à l'aube des groupes, des musiques, des ambiances différentes, un Bernard Lavilliers ravi, et une foule diversifiée qui en demandait encore.
Comme à Paris, Berlin, Barcelone, Rome ou New York, Beyrouth a célébré hier soir sa fête de la Musique, transformant six sites, certains historiques, en scènes de rap, folk, rock, funk, jazz, techno ou hip-hop. Le public, essentiellement jeune, a envahi la ville à partir de 20 heures. Le jardin Samir Kassir, sous le regard complice de sa sculpture...
Nominations, réformes, justice, cessez-le-feu... Quel avenir pour le Liban ?
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