C'est à 7 heures que le centre BIEL a ouvert ses portes pour accueillir les fonctionnaires électeurs de Beyrouth I, II et III en présence d'observateurs de la Ligue arabe, de l'Union européenne et du Centre international pour la démocratie des élections, présidé par l'ancienne secrétaire d'État américaine, Madeleine Albright. La même opération s'est déroulée au même moment dans les différents cazas du pays, tous les électeurs ayant auparavant trempé leur doigt dans l'encre bleue pour s'assurer qu'ils ne voteront pas deux fois. Globalement, le taux de participation se serait élevé à 80 % et le vote s'est déroulé dans un climat calme.
Le ministre de l'Intérieur Ziyad Baroud a personnellement donné le coup d'envoi de ce scrutin en effectuant une tournée auprès de plusieurs bureaux de vote situés dans l'enceinte du BIEL. Il s'est informé des problèmes auxquels les électeurs ont été confrontés et s'est assuré de « l'absence de difficultés majeures », comme il l'a affirmé lui-même au terme de sa tournée.
Commentant l'affaire des fausses cartes d'identité, M. Baroud a affirmé qu'il tenait pour responsables « tous les organes de presse qui ont publié ces informations sans les communiquer au ministère de l'Intérieur ». « Il est impossible de falsifier ces cartes, tant sur le plan technologique que technique », a-t-il ainsi précisé, appelant ceux qui prétendent le contraire à se rendre à l'atelier où sont confectionnées les cartes pour s'assurer de lui-même de la qualité du travail effectué. « À l'aune du système informatique utilisé, il est parfaitement impossible de fabriquer de fausses cartes. »
Répondant à une question sur la possibilité de voir divers incidents se propager sur le territoire libanais, le ministre a indiqué que « des petits incidents risquent de se produire », mais que la sécurité comprise de manière large est garantie. « Le jour des élections, il y a un très grand nombre de citoyens qui se déplaceront et j'espère que l'ambiance ne sera pas tendue (...). Nous sommes tous responsables de la sécurité, que ce soit les hommes politiques, les Forces de sécurité intérieure et l'armée. »
À Baalbeck, l'ancien ministre Ghazi Zeaïter a affirmé que « le taux de participation est important et que cela démontre que les citoyens sont conscients de l'importance de cette échéance. Mais il y a un problème, car plus de cent noms ne sont pas mentionnés sur les listes électorales ».
Les députés Ayoub Hmayed et Ali Bazzi ont, pour leur part, souligné que les habitants du Sud « vont démontrer qu'ils sont à la hauteur du défi et de la responsabilité qui pèsent sur leurs épaules ».
Le ministre de l'Intérieur Ziyad Baroud a personnellement donné le coup d'envoi de ce scrutin en effectuant une tournée auprès de plusieurs bureaux de vote situés dans l'enceinte du BIEL. Il s'est informé des problèmes auxquels les électeurs ont été confrontés et s'est assuré de « l'absence de difficultés majeures », comme il l'a affirmé lui-même au terme de sa tournée.
Commentant l'affaire des fausses cartes d'identité, M. Baroud a affirmé qu'il tenait pour responsables « tous les organes de presse qui ont publié ces informations sans les communiquer au ministère de l'Intérieur ». « Il est impossible de falsifier ces cartes, tant sur le plan technologique que technique », a-t-il ainsi précisé, appelant ceux qui prétendent le contraire à se rendre à l'atelier où sont confectionnées les cartes pour s'assurer de lui-même de la qualité du travail effectué. « À l'aune du système informatique utilisé, il est parfaitement impossible de fabriquer de fausses cartes. »
Répondant à une question sur la possibilité de voir divers incidents se propager sur le territoire libanais, le ministre a indiqué que « des petits incidents risquent de se produire », mais que la sécurité comprise de manière large est garantie. « Le jour des élections, il y a un très grand nombre de citoyens qui se déplaceront et j'espère que l'ambiance ne sera pas tendue (...). Nous sommes tous responsables de la sécurité, que ce soit les hommes politiques, les Forces de sécurité intérieure et l'armée. »
À Baalbeck, l'ancien ministre Ghazi Zeaïter a affirmé que « le taux de participation est important et que cela démontre que les citoyens sont conscients de l'importance de cette échéance. Mais il y a un problème, car plus de cent noms ne sont pas mentionnés sur les listes électorales ».
Les députés Ayoub Hmayed et Ali Bazzi ont, pour leur part, souligné que les habitants du Sud « vont démontrer qu'ils sont à la hauteur du défi et de la responsabilité qui pèsent sur leurs épaules ».
C'est à 7 heures que le centre BIEL a ouvert ses portes pour accueillir les fonctionnaires électeurs de Beyrouth I, II et III en présence d'observateurs de la Ligue arabe, de l'Union européenne et du Centre international pour la démocratie des élections, présidé par l'ancienne secrétaire d'État américaine, Madeleine...
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