Le ministre iranien du Pétrole, Gholam Hossein Nozari, a annoncé mercredi qu'il s'attendait à ce que l'Opep ne change pas son niveau de production au cours de sa réunion jeudi à Vienne.
Interrogé par des journalistes pour savoir s'il s'attendait à un changement, il a répondu "je ne pense pas".
L'Iran est d'ordinaire l'avocat des baisses de production, afin de soutenir les prix du pétrole.
L'Arabie saoudite, le membre le plus influent du cartel regroupant 12 pays et fournissant 40% du brut mondial, s'est également montrée favorable au statu quo.
Depuis septembre dernier, l'Opep a décidé de retirer du marché 4,2 millions de barils par jour (mbj) pour enrayer la chute des prix du brut qui étaient tombés jusqu'à 32,40 dollars en automne, fixant son plafond de production à 24,84 mbj. Il s'agit de son niveau le plus bas depuis 2003.
Les prix sont depuis repassés, la semaine dernière, au-dessus de la barre des 60 dollars. Mercredi, les prix évoluaient en hausse à l'ouverture des échanges à New York, à 62,60 dollars.
L'Opep vise un baril à 75 dollars pour permettre aux producteurs de continuer à investir dans l'exploration et la production.
Interrogé par des journalistes pour savoir s'il s'attendait à un changement, il a répondu "je ne pense pas".
L'Iran est d'ordinaire l'avocat des baisses de production, afin de soutenir les prix du pétrole.
L'Arabie saoudite, le membre le plus influent du cartel regroupant 12 pays et fournissant 40% du brut mondial, s'est également montrée favorable au statu quo.
Depuis septembre dernier, l'Opep a décidé de retirer du marché 4,2 millions de barils par jour (mbj) pour enrayer la chute des prix du brut qui étaient tombés jusqu'à 32,40...
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