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Liban

Gemayel : L’opposition tente d’ébranler les fondements de l’État

L'ancien président de la République, Amine Gemayel, a été reçu hier à Baabda par le chef de l'État, Michel Sleiman. Dans une déclaration à la presse à l'issue de la rencontre, le chef des Kataëb a fermement déploré « les attaques contre la magistrature suprême et le président Sleiman ».
« La présidence de la République est le symbole du Liban, notamment sous le mandat de Michel Sleiman, a-t-il ajouté. Nul n'a intérêt à ébranler la garantie que Baabda offre à toutes les parties libanaises. Il est regrettable que certains ne comprennent pas les dangers qui pèsent sur le Liban et toutes les échéances que le pays doit affronter. S'en prendre aux institutions constitutionnelles, à commencer par l'armée et la magistrature suprême, prive le pays de la protection dont il a besoin et l'expose à toutes sortes de danger. »
Répondant aux questions de la presse, Amine Gemayel a affirmé que « le président Sleiman n'intervient pas dans les législatives ». « Ce que nous vivons actuellement porte atteinte à l'essence des intérêts nationaux, a-t-il averti. L'opposition viole toutes les constantes et les règles sacrées, et tente d'ébranler les fondements de l'État. »
Le chef des Kataëb a également souligné que « les attaques contre la magistrature suprême ne visent pas cette institution en tant que telle ou la personne du président Sleiman autant que l'entité libanaise et les institutions du pays ». « Nous ne savons pas ce qu'est cette troisième République que défendent certains, a-t-il conclu. L'on s'en prend à tour de rôle à la présidence de la République, à l'armée, à la justice, au patriarcat maronite comme si l'on voulait remplacer la République libanaise par une autre république dont la teneur est inconnue. »
L'ancien président de la République, Amine Gemayel, a été reçu hier à Baabda par le chef de l'État, Michel Sleiman. Dans une déclaration à la presse à l'issue de la rencontre, le chef des Kataëb a fermement déploré « les attaques contre la magistrature suprême et le président Sleiman ». « La présidence de la République est le symbole du Liban, notamment sous le mandat de Michel Sleiman, a-t-il ajouté. Nul n'a intérêt à ébranler la garantie que Baabda offre à toutes les parties libanaises. Il est regrettable que certains ne comprennent pas les dangers qui pèsent sur le Liban et toutes les échéances que le pays doit affronter. S'en...
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