Dans son prêche du vendredi, le mufti de la République, cheikh Mohammad Rachid Kabbani, a mis l'accent sur l'importance de la parité islamo-chrétienne. Il a souligné l'importance des législatives de cette année, qui « font peser sur les Libanais une lourde responsabilité ». Selon lui, ces derniers doivent « bien réfléchir avant de choisir ceux à qui ils doivent accorder leur voix et confier l'avenir de leur pays ».
Le mufti a ensuite insisté sur la formation du Conseil constitutionnel et souligné que « le Liban ne renoncera pas à la parité entre chrétiens et musulmans, qui favorise l'entente nationale, la justice et la coexistence. Les guerres qui ont soufflé sur le Liban, sous divers aspects, ont failli porter un coup fatal à ces constantes ». « Seize ans plus tard, nous avons cependant fait de nouveau le bon choix que nous avions consacré dans l'accord de Taëf. Le Liban ne pourra connaître la stabilité que grâce à la formule prévue par Taëf et nous ne réussirons à avoir un État véritable que si ce document est mis en application dans son ensemble, sans que quiconque n'essaie de le modifier ou de le neutraliser », a insisté le mufti.
À l'instar du patriarche maronite, le cardinal Nasrallah Sfeir, cheikh Kabbani a estimé que la présence de l'opposition et de la majorité au pouvoir ne sert qu'à paralyser les institutions ainsi que la vie des Libanais au quotidien.
Le mufti a ensuite insisté sur la formation du Conseil constitutionnel et souligné que « le Liban ne renoncera pas à la parité entre chrétiens et musulmans, qui favorise l'entente nationale, la justice et la coexistence. Les guerres qui ont soufflé sur le Liban, sous divers aspects, ont failli porter un coup fatal à ces constantes ». « Seize ans plus tard, nous avons cependant fait de nouveau le bon choix que nous avions consacré dans l'accord de Taëf. Le Liban ne pourra connaître la stabilité que grâce à la formule prévue par Taëf et nous ne réussirons à avoir un État véritable que si ce document est mis en application dans son ensemble, sans que quiconque n'essaie de le modifier ou de le neutraliser », a insisté le mufti.
À l'instar du patriarche maronite, le cardinal Nasrallah Sfeir, cheikh Kabbani a estimé que la présence de l'opposition et de la majorité au pouvoir ne sert qu'à paralyser les institutions ainsi que la vie des Libanais au quotidien.
Dans son prêche du vendredi, le mufti de la République, cheikh Mohammad Rachid Kabbani, a mis l'accent sur l'importance de la parité islamo-chrétienne. Il a souligné l'importance des législatives de cette année, qui « font peser sur les Libanais une lourde responsabilité ». Selon lui, ces derniers doivent « bien réfléchir avant de choisir ceux à qui ils doivent accorder leur voix et confier l'avenir de leur pays ». Le mufti a ensuite insisté sur la formation du Conseil constitutionnel et souligné que « le Liban ne renoncera pas à la parité entre chrétiens et musulmans, qui favorise l'entente nationale, la justice et la coexistence. Les guerres qui ont soufflé sur le...