Alors que le démantèlement du réseau d'espionnage israélien se poursuit, la campagne électorale se fait de plus en plus furieuse, et les coups bas pleuvent. Se refusant à admettre de s'être affiché comme le défenseur d'une « troisième République », Michel Aoun s'en est même pris implicitement au chef de l'État hier, critiquant un « silence complice ». Qu'aurait-il fait à la place d'Amine Gemayel, dont on a bassement annoncé hier le décès ? Sans parler des « cages » et autres « poussins » qui caquètent au Kesrouan.La liste du 14 Mars à Zahlé sera entièrement formée par les chrétiens de la majoritéAoun : Que font donc...