« Le Liban a tracé petit à petit le chemin de la paix et de la reconstruction », a affirmé hier le président français Nicolas Sarkozy dans son discours traditionnel devant les membres du corps diplomatique, venus lui présenter leurs vœux pour 2009.
Le chef de l’État, dont le discours était axé sur la crise monétaire internationale, les problèmes climatiques, l’environnement et, sur le plan international, la guerre contre Gaza, devait également évoquer le Liban dans le texte de son discours distribué à l’assistance.
Dans cette partie non lue, Nicolas Sarkozy a espéré que 2009 soit « une année décisive pour le Liban, qui a progressé ces derniers mois vers la stabilité interne et une relation transformée avec la Syrie. La visite d’État du président Michel Sleiman en France en mars prochain témoignera de l’engagement déterminé de la France aux côtés de tous les Libanais », a-t-il ajouté.
Dans l’entourage du président Sarkozy, on estime que l’engagement français aux côtés du Liban n’a pas été affecté par les préoccupations de l’Élysée liées à la guerre de Gaza, mais, bien au contraire, les conseillers présidentiels continuent de suivre l’évolution de la situation dans ce pays et l’état des relations libano-syriennes afin que le processus de normalisation entre les deux pays ne se ralentisse pas du fait de cette guerre.
Des cercles proches de l’Élysée estiment que la position du Liban à l’égard des divers pays arabes et les relations équidistantes établies par le président Sleiman avec les capitales arabes et les puissances régionales, notamment au cours de ses premiers voyages après son élection, pourraient représenter un atout pour la diplomatie française toujours active sur le dossier moyen-oriental. Avec un but en tête : aboutir le plus rapidement possible à un cessez-le-feu, suivi d’une ébauche de solution d’abord à Gaza puis au niveau du conflit israélo-palestinien.
« Le Liban a tracé petit à petit le chemin de la paix et de la reconstruction », a affirmé hier le président français Nicolas Sarkozy dans son discours traditionnel devant les membres du corps diplomatique, venus lui présenter leurs vœux pour 2009.
Le chef de l’État, dont le discours était axé sur la crise monétaire internationale, les problèmes climatiques, l’environnement et, sur le plan international, la guerre contre Gaza, devait également évoquer le Liban dans le texte de son discours distribué à l’assistance.
Dans cette partie non lue, Nicolas Sarkozy a espéré que 2009 soit « une année décisive pour le Liban, qui a progressé ces derniers mois vers la stabilité interne et une relation transformée avec la Syrie. La visite d’État du président Michel Sleiman en France en mars prochain...
Quelles perspectives pour le Liban et le Moyen-Orient ?
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