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Actualités - CHRONOLOGIE

La tasse qu’on casse si ça ne passe pas

Doutant des résultats de la conférence de paix d’Annapolis, un marchand de souvenirs de Gaza propose à ses clients un « mug » à casser si les attentes suscitées par cette réunion qui s’ouvre demain dans le Maryland ne sont pas au rendez-vous. Symbole d’espoir, la tasse « ça-passe-ou-ça-casse » est ornée d’une colombe et d’un rameau d’olivier, mais signe de doute, elle est vendue avec des instructions pour la briser si la conférence fait un flop. « Ce souvenir est fait pour être conservé, mais, en cas d’échec de la conférence, brisez-le », est-il écrit sur le « mug » de Tarek Abou Dayya, qui se vend comme des petits pains malgré son prix relativement coquet de 2,50 dollars pièce. « Il pourra toujours se tourner ensuite vers Bush pour se faire rembourser », suggère le commerçant gazaoui, avec une pointe d’humour.
Doutant des résultats de la conférence de paix d’Annapolis, un marchand de souvenirs de Gaza propose à ses clients un « mug » à casser si les attentes suscitées par cette réunion qui s’ouvre demain dans le Maryland ne sont pas au rendez-vous. Symbole d’espoir, la tasse « ça-passe-ou-ça-casse » est ornée d’une colombe et d’un rameau d’olivier, mais signe de doute, elle est vendue avec des instructions pour la briser si la conférence fait un flop. « Ce souvenir est fait pour être conservé, mais, en cas d’échec de la conférence, brisez-le », est-il écrit sur le « mug » de Tarek Abou Dayya, qui se vend comme des petits pains malgré son prix relativement coquet de 2,50 dollars pièce. « Il pourra toujours se tourner ensuite vers Bush pour se faire rembourser », suggère le commerçant gazaoui,...