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La « pression morale » de Ban Ki-moon

Des responsables qui ont participé aux rencontres du secrétaire général de l’ONU à Beyrouth ont indiqué à notre correspondant diplomatique Khalil Fleyhane que Ban Ki-moon a informé certains de ses interlocuteurs libanais de son intention d’exercer une « pression morale » sur certains États qui jouent un rôle déterminant dans le dossier présidentiel. Le patron de l’ONU aurait également affirmé qu’il allait contacter le président syrien Bachar el-Assad et le président iranien Ahmadinejad, pour leur enjoindre de ne pas exercer leur influence auprès de leurs alliés libanais dans le but d’entraver l’élection présidentielle, et les inciter, au contraire, à faciliter la tenue du scrutin. Ces sources ont également souligné que l’expression « pression morale » utilisée par Ban Ki-moon n’a été employée par aucun émissaire étranger, avant lui. Le secrétaire général de l’ONU aurait été informé de la liste établie par Nasrallah Sfeir, lors de son entretien avec le patriarche maronite, et aurait exprimé « le plein soutien » de l’organisation internationale à l’action de Bkerké.
Des responsables qui ont participé aux rencontres du secrétaire général de l’ONU à Beyrouth ont indiqué à notre correspondant diplomatique Khalil Fleyhane que Ban Ki-moon a informé certains de ses interlocuteurs libanais de son intention d’exercer une « pression morale » sur certains États qui jouent un rôle déterminant dans le dossier présidentiel. Le patron de l’ONU aurait...