Rechercher
Rechercher

Actualités

Souhaid : Ceux qui n’ont pas cédé pour l’amendement de la Constitution en 2004 ne céderont pas aujourd’hui

« La bataille contre l’amendement de la Constitution a commencé en 2004 et elle se poursuit aujourd’hui. Ceux qui n’ont pas cédé en 2004 aux sirènes de l’amendement de la Constitution ne céderont pas aujourd’hui. » C’est ce qu’a déclaré, hier, l’ancien député Farès Souhaid. « Il est possible de s’entendre autour du nom du candidat lors d’élections municipales, mais pas à l’élection présidentielle... », a expliqué M. Souhaid (14 Mars). « L’élection d’un candidat du 14 Mars à la présidence va avoir des répercussions sur la politique régionale, a-t-il estimé. Par opposition, l’élection d’un président en dehors du 14 Mars signifie le renforcement de l’axe Téhéran-Damas. » L’ancien député de Jbeil a exprimé ses doutes sur le fait que le général Michel Aoun soit le candidat de l’opposition à la présidentielle. « S’il l’était vraiment, pourquoi l’opposition n’a-t-elle pas ouvertement adopté sa candidature ? s’est-il interrogé. Et est-ce que le général Aoun, une fois élu, s’engagera envers le 8 Mars à abandonner le tribunal international et à conserver l’arsenal du Hezbollah ? »
« La bataille contre l’amendement de la Constitution a commencé en 2004 et elle se poursuit aujourd’hui. Ceux qui n’ont pas cédé en 2004 aux sirènes de l’amendement de la Constitution ne céderont pas aujourd’hui. » C’est ce qu’a déclaré, hier, l’ancien député Farès Souhaid.
« Il est possible de s’entendre autour du nom du candidat lors d’élections municipales,...