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Actualités - CHRONOLOGIE

Berry : « L’expression de dernière chance n’existe pas, nous devons continuer à chercher un président consensuel »

«L’expression de dernière chance n’existe pas », a déclaré hier Nabih Berry, président du Parlement, s’exprimant sur l’échéance présidentielle, et considérant qu’il fallait continuer à discuter et chercher la personnalité adéquate jusqu’au dernier moment. « Nous pourrons peut-être réussir, a-t-il ajouté. Cela ne signifie pas que (le député) Saad Hariri et moi-même, ainsi que les autres leaders, abandonnerons, avant de parvenir à un accord autour du président et à son élection lors de la session prévue le 23 octobre. » Lors d’une interview accordée à Euronews hier, M. Berry a considéré que « si le président est élu de manière non constitutionnelle, la situation serait plus que dangereuse », ajoutant que celui-ci « ne serait pas président, mais un usurpateur de pouvoir ». Il a par ailleurs souligné que son candidat « est le consensus, et si le général (Michel) Aoun l’assure, je le soutiendrais ». M. Berry a par ailleurs démenti à plus d’une reprise que la Syrie et l’Iran cherchaient à empêcher les élections, soulignant qu’il y a « une volonté de la part de tout le monde, y compris la Syrie et l’Iran, de trouver un consensus et élire un président de la République, et je suis responsable de ce que je dis ». Et de conclure : « Personne ne pourra intervenir de l’étranger à moins que les Libanais ne le permettent. Mettons-nous d’accord, nous les Libanais, et tout ira bien. »
«L’expression de dernière chance n’existe pas », a déclaré hier Nabih Berry, président du Parlement, s’exprimant sur l’échéance présidentielle, et considérant qu’il fallait continuer à discuter et chercher la personnalité adéquate jusqu’au dernier moment. « Nous pourrons peut-être réussir, a-t-il ajouté. Cela ne signifie pas que (le député) Saad Hariri et...