Le député de Beyrouth s’est déchaîné contre « le régime terroriste de Bachar el-Assad »
Hariri : Nous nous rendrons mardi place de l’Étoile
avec la volonté de dialoguer et de nous entendre…
le 24 septembre 2007 à 00h00
«Nous allons nous rendre mardi place de l’Étoile dans un état d’esprit positif. »
C’est en substance ce qu’a affirmé hier le chef du Courant du futur (CdF), Saad Hariri, qui a utilisé les mots de dialogue, d’accord et d’entente, nécessaires selon lui pour paver la voie à une éventuelle solution et pour permettre au Parlement de rejouer son rôle naturel et constitutionnel, de redevenir une plate-forme de dialogue, de débat et d’accord au nom des intérêts du Liban. Un Parlement, a-t-il précisé, censé « défendre le Liban et l’accord de Taëf ».
Le député de Beyrouth s’est exprimé hier soir à l’occasion d’un iftar donné à Koraytem en l’honneur des familles du Akkar, auquel ont notamment participé le vice-président de la Chambre, Farid Makari, le ministre de la Jeunesse et des Sports, Ahmad Fatfat, ainsi que bon nombre de députés du CdF.
Après avoir rendu un vibrant hommage aux « martyrs du Akkar » tombés au cours de la bataille de Nahr el-Bared et rappelé que lorsque « le régime de Bachar el-Assad a tué Rafic Hariri, tenté de kidnapper les législatives de 2005 au Nord puis envoyé une équipe de SR sous le nom de Fateh el-Islam, le Akkar a répondu à l’appel de la liberté et de l’indépendance », Saad Hariri a assuré que la majorité allait se rendre mardi place de l’Étoile avec un état d’esprit ouvert au dialogue et à l’entente, « parce que telle est la vocation du Parlement : être un espace de dialogue ». Pour lui, les députés ont reçu le mandat de défendre les intérêts des électeurs, à commencer par le refus du vide constitutionnel comme celui de la partition, sans oublier le combat contre « les visées de l’ennemi israélien et celles du régime terroriste de Bachar el-Assad. Ces deux-là sont des alliés objectifs ; ils sont d’accord pour comploter contre le Liban, contre l’arabité du Liban, et contre la récupération par le Liban de sa force économique, politique et culturelle, et donc de sa place dans le monde ».
«Nous allons nous rendre mardi place de l’Étoile dans un état d’esprit positif. »
C’est en substance ce qu’a affirmé hier le chef du Courant du futur (CdF), Saad Hariri, qui a utilisé les mots de dialogue, d’accord et d’entente, nécessaires selon lui pour paver la voie à une éventuelle solution et pour permettre au Parlement de rejouer son rôle naturel et constitutionnel, de redevenir une plate-forme de dialogue, de débat et d’accord au nom des intérêts du Liban. Un Parlement, a-t-il précisé, censé « défendre le Liban et l’accord de Taëf ».
Le député de Beyrouth s’est exprimé hier soir à l’occasion d’un iftar donné à Koraytem en l’honneur des familles du Akkar, auquel ont notamment participé le vice-président de la Chambre, Farid Makari, le ministre de la Jeunesse et des Sports,...
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