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La femme de Chaker Absi maintient avoir identifié le corps de son mari

L’épouse du chef de l’organisation terroriste Fateh el-Islam, Chaker Absi, a maintenu que le cadavre qu’elle avait identifié le 3 septembre, après la chute du camp de Nahr el-Bared, dans le nord du Liban, était bien celui de son mari, bien que les tests ADN indiquent le contraire. « Quand je l’ai vu, j’ai été choquée par la gravité de ses blessures, mais j’ai su que c’était lui. J’ai reconnu son visage, sa barbe blanche, sa taille et ses pieds », a déclaré à l’AFP Rachdiyé Absi, au cours d’un entretien téléphonique, obtenu par l’intermédiaire des religieux palestiniens qui ont hébergé la femme de Absi dans la ville de Saïda. Rachdiyé Absi, qui a affirmé être palestino-jordanienne comme son mari, a été évacuée en août de Nahr el-Bared en compagnie d’autres femmes et enfants. « Nous sommes un groupe de 17 femmes et 34 enfants, le plus âgé a 12 ans, et nous sommes installés à la mosquée al-Arqam à Saïda, a-t-elle ajouté. Nous ne sortons pas, sauf si quelqu’un est malade et a besoin d’être hospitalisé. Nous occupons quatre chambres, une cuisine et une salle de bains à l’intérieur du complexe de la mosquée. Je veux quitter le Liban et partir en Syrie ou en Jordanie. »
L’épouse du chef de l’organisation terroriste Fateh el-Islam, Chaker Absi, a maintenu que le cadavre qu’elle avait identifié le 3 septembre, après la chute du camp de Nahr el-Bared, dans le nord du Liban, était bien celui de son mari, bien que les tests ADN indiquent le contraire.
« Quand je l’ai vu, j’ai été choquée par la gravité de ses blessures, mais j’ai su que...