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Début du procès d’un détenu politique syrien, accusé de « contacts avec le 14 Mars »

Le détenu Faïq al-Mir, responsable du parti d’opposition du Peuple syrien, arrêté par les services de sécurité syriens le 13 décembre, a comparu mercredi au Palais de justice de Damas, notamment pour « contacts avec le groupe du 14 Mars », a annoncé hier le site de l’Organisation nationale pour les droits de l’homme. Les accusations retenues par le parquet contre M. Mir sont « complot et contacts avec des parties hostiles aux territoires, attaques contre l’État et agressivité explicite à l’encontre de la politique de l’État, et contacts répétés avec le groupe libanais du 14 Mars ». Pour sa part, M. Mir a nié ses relations avec le 14 Mars indiquant qu’il « n’était entré en relation qu’avec M. Élias Atallah, secrétaire général du mouvement de la Gauche démocratique, parce que son parti était autrefois uni au sien ». Il a ajouté que « ses contacts avec M. Atallah avaient pour objectif de présenter les condoléances pour la mort de Georges Haoui ». À la fin de l’audience, le parquet a décidé de maintenir les chefs d’accusation et la défense a demandé un délai. L’audience a été reportée au 7 octobre. L’avocat Abdel-Rahim Ramaza, secrétaire de l’organisation nationale, a déclaré que les avocats de l’organisation coordonneraient avec la défense pour se préparer à la prochaine audience.
Le détenu Faïq al-Mir, responsable du parti d’opposition du Peuple syrien, arrêté par les services de sécurité syriens le 13 décembre, a comparu mercredi au Palais de justice de Damas, notamment pour « contacts avec le groupe du 14 Mars », a annoncé hier le site de l’Organisation nationale pour les droits de l’homme. Les accusations retenues par le parquet contre M. Mir sont «...