Dans une déclaration publiée par le palais de Baabda, le président Lahoud a souligné que « l’imam Moussa Sadr a été l’un des symboles de la dignité et de la fierté...
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Lahoud rend hommage à l’imam Sadr, « l’un des symboles de la fierté et de la dignité nationales »
le 30 août 2007 à 00h00
Le chef de l’État, Émile Lahoud, a rendu hommage, hier, à l’imam Moussa Sadr, disparu lors d’un voyage en Libye en 1978 avec ses deux compagnons, cheikh Mohammad Yaacoub et le journaliste Abbas Badreddine.
Dans une déclaration publiée par le palais de Baabda, le président Lahoud a souligné que « l’imam Moussa Sadr a été l’un des symboles de la dignité et de la fierté nationales, et l’un des premiers défenseurs de l’unité du Liban ».
M. Lahoud a ajouté que « l’imam Sadr a été l’un des premiers qui ont défendu l’idée d’un Liban fort par sa Résistance. Il a été parmi ceux qui ont déclaré que la force du Liban n’est pas dans sa faiblesse mais dans sa force. Il a été de ceux qui ont osé dire que le Liban peut défendre son territoire et faire face à Israël. Sa théorie s’est par ailleurs avérée réaliste puisque le Liban, par sa résistance et par la justesse de ses revendications, a réussi à vaincre Israël ».
Le président Lahoud a conclu en affirmant que « ni Israël ni un autre État n’est capable d’envahir le Liban. Telle a été la grande leçon de l’imam disparu ».
Le chef de l’État, Émile Lahoud, a rendu hommage, hier, à l’imam Moussa Sadr, disparu lors d’un voyage en Libye en 1978 avec ses deux compagnons, cheikh Mohammad Yaacoub et le journaliste Abbas Badreddine.
Dans une déclaration publiée par le palais de Baabda, le président Lahoud a souligné que « l’imam Moussa Sadr a été l’un des symboles de la dignité et de la fierté...
Dans une déclaration publiée par le palais de Baabda, le président Lahoud a souligné que « l’imam Moussa Sadr a été l’un des symboles de la dignité et de la fierté...
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