« Les demandes de l’opposition pour un gouvernement
d’union visent à saboter la présidentielle », affirme le PNL
le 25 août 2007 à 00h00
À l’issue de sa réunion hebdomadaire présidée par le chef du parti Dory Chamoun, le Parti national libéral (PNL) a publié un communiqué dans lequel il met l’accent sur la volonté de l’opposition de saboter l’échéance présidentielle en « refusant de garantir le quorum » nécessaire à l’élection du nouveau président.
Pour le PNL, il existe deux camps aujourd’hui, le premier, celui de l’opposition, cherchant à entraver l’échéance présidentielle, le second, celui de la majorité, « œuvrant d’arrache-pied pour réussir à sauver la formule et le pays du danger que représente le vide constitutionnel ».
« La Constitution (...) au même titre d’ailleurs que les usages et les coutumes » appelle à garantir le quorum « car cela constitue un devoir fondamental pour un député », surtout lorsqu’il s’agit de l’échéance présidentielle. Le PNL a aussi affirmé, à l’adresse de « ceux qui s’évertuent à nous rappeler constamment le quorum qui a été adopté lors des précédentes élections présidentielles », que les efforts se sont toujours dirigés vers « la plus grande participation possible, non le contraire ».
Le parti a en outre indiqué dans son communiqué que « l’insistance de l’axe syro-iranien, notamment du Hezbollah, à former un gouvernement d’union nationale » révèle une volonté évidente de « paralyser l’échéance présidentielle ».
Réaffirmant la légitimité internationale de la résolution 1559, le PNL a aussi mis en relief la volonté de l’opposition de paralyser l’action de la communauté internationale et faire échouer la mission de la Finul.
À l’issue de sa réunion hebdomadaire présidée par le chef du parti Dory Chamoun, le Parti national libéral (PNL) a publié un communiqué dans lequel il met l’accent sur la volonté de l’opposition de saboter l’échéance présidentielle en « refusant de garantir le quorum » nécessaire à l’élection du nouveau président.
Pour le PNL, il existe deux camps aujourd’hui, le premier, celui de l’opposition, cherchant à entraver l’échéance présidentielle, le second, celui de la majorité, « œuvrant d’arrache-pied pour réussir à sauver la formule et le pays du danger que représente le vide constitutionnel ».
« La Constitution (...) au même titre d’ailleurs que les usages et les coutumes » appelle à garantir le quorum « car cela constitue un devoir fondamental pour un député », surtout...
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