Lors d’un discours, hier à Kansas City, le président américain (photo) a mis en garde les partisans d’un retrait américain d’Irak contre un nouveau Vietnam. « L’une des leçons du Vietnam, sans erreur possible, c’est que des millions d’innocents ont payé le prix du retrait de l’Amérique », a-t-il souligné, alors que l’armée américaine venait de perdre 14 soldats lors d’un crash d’hélicoptère au nord de Bagdad. George Bush a également réaffirmé son soutien au Premier ministre irakien Nouri al-Maliki, alors qu’il avait semblé prendre ses distances mardi. Un peu plus tôt, ce dernier, toujours à Damas, avait sévèrement rejeté les critiques américaines, déclarant qu’il « n’incombe à personne d’impartir des délais au gouvernement irakien ».
Actualités - CHRONOLOGIE
Le président US réaffirme son soutien à Maliki Bush met en garde contre un nouveau Vietnam en Irak
le 23 août 2007 à 00h00
Lors d’un discours, hier à Kansas City, le président américain (photo) a mis en garde les partisans d’un retrait américain d’Irak contre un nouveau Vietnam. « L’une des leçons du Vietnam, sans erreur possible, c’est que des millions d’innocents ont payé le prix du retrait de l’Amérique », a-t-il souligné, alors que l’armée américaine venait de perdre 14 soldats lors d’un crash d’hélicoptère au nord de Bagdad. George Bush a également réaffirmé son soutien au Premier ministre irakien Nouri al-Maliki, alors qu’il avait semblé prendre ses distances mardi. Un peu plus tôt, ce dernier, toujours à Damas, avait sévèrement rejeté les critiques américaines, déclarant qu’il « n’incombe à personne d’impartir des délais au gouvernement irakien ».
Lors d’un discours, hier à Kansas City, le président américain (photo) a mis en garde les partisans d’un retrait américain d’Irak contre un nouveau Vietnam. « L’une des leçons du Vietnam, sans erreur possible, c’est que des millions d’innocents ont payé le prix du retrait de l’Amérique », a-t-il souligné, alors que l’armée américaine venait de perdre 14 soldats lors d’un crash d’hélicoptère au nord de Bagdad. George Bush a également réaffirmé son soutien au Premier ministre irakien Nouri al-Maliki, alors qu’il avait semblé prendre ses distances mardi. Un peu plus tôt, ce dernier, toujours à Damas, avait sévèrement rejeté les critiques américaines, déclarant qu’il « n’incombe à personne d’impartir des délais au gouvernement irakien ».