Il suffit de l’entendre démonter devant L’Orient-Le Jour, avec son style lapidaire, une par une toutes les propositions actuelles de compromis sur la présidentielle, pour se rendre à l’évidence : Walid Joumblatt est tout entier tendu vers un objectif unique, par-delà l’espace-temps, par-delà les obstacles innombrables. Cet objectif, c’est l’élection d’un président du 14...
Actualités - CHRONOLOGIE
Ni vide constitutionnel ni compromis, assure le chef du PSP à « L’Orient-Le Jour » Joumblatt intraitable : Un président du 14 Mars à n’importe quel prix
le 23 août 2007 à 00h00
Il suffit de l’entendre démonter devant L’Orient-Le Jour, avec son style lapidaire, une par une toutes les propositions actuelles de compromis sur la présidentielle, pour se rendre à l’évidence : Walid Joumblatt est tout entier tendu vers un objectif unique, par-delà l’espace-temps, par-delà les obstacles innombrables. Cet objectif, c’est l’élection d’un président du 14 Mars entre le 13 et le 24 novembre, « à n’importe quel prix ».
Sa bataille, le chef du PSP affirme qu’il la mène aussi et surtout contre le discours sur l’inévitable chaos « si la majorité ne céde pas au chantage de l’opposition ». Walid Joumblatt est intraitable : il n’y aura pas plus de vide constitutionnel que de compromis ou de candidat de compromis. Il en va, selon lui, de la survie de la majorité.
L’interview recueillie par Michel HAJJI GEORGIOU
Il suffit de l’entendre démonter devant L’Orient-Le Jour, avec son style lapidaire, une par une toutes les propositions actuelles de compromis sur la présidentielle, pour se rendre à l’évidence : Walid Joumblatt est tout entier tendu vers un objectif unique, par-delà l’espace-temps, par-delà les obstacles innombrables. Cet objectif, c’est l’élection d’un président du 14...
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