« Trouver un mécanisme visant à contrôler les frontières. » Tel était le sujet, selon le Premier ministre irakien Nouri al-Maliki, de ses discussions avec Bachar el-Assad, hier, à Damas. Le président syrien a, pour sa part, appelé à « créer un climat propice pour parvenir à la réconciliation nationale entre les différentes composantes du peuple irakien ».
Parallèlement, l’ambassadeur américain en Irak, Ryan Crocker, déclarait à la presse que les progrès en Irak sur les questions politiques fondamentales sont « très décevants ». Si M. Crocker a assuré que les États-Unis continuaient de soutenir M. Maliki, le président Bush se montrait plus réservé sur la question, faisant état d’« un certain niveau de frustration avec la direction du pays en général ». Se gardant d’exprimer son soutien au Premier ministre irakien, il a ajouté que les Irakiens étaient seuls juges du sort de leur gouvernement.
« Trouver un mécanisme visant à contrôler les frontières. » Tel était le sujet, selon le Premier ministre irakien Nouri al-Maliki, de ses discussions avec Bachar el-Assad, hier, à Damas. Le président syrien a, pour sa part, appelé à « créer un climat propice pour parvenir à la réconciliation nationale entre les différentes composantes du peuple irakien ».
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