Dès son arrivée, M. Koucher, qui doit...
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Les dirigeants des principales communautés s’entendent sur la tenue d’un sommet de crise En visite surprise à Bagdad, Kouchner appelle les Irakiens à prendre leur destin en main
le 20 août 2007 à 00h00
Quelques jours après que les présidents Nicolas Sarkozy et George W. Bush aient affiché leur proximité, le ministre français des Affaires étrangères, Bernard Kouchner, a entamé hier une visite surprise à Bagdad. Une première depuis le déclenchement de la guerre en Irak par les États-Unis en 2003, à laquelle Paris s’était fermement opposée.
Dès son arrivée, M. Koucher, qui doit rester trois jours en Irak, a dit espérer que l’ONU ait un rôle plus important dans ce pays. Il a également souligné que la violence est « un problème irakien », qui doit être réglé par les Irakiens. « Ce que je pense et ce que M. Sarkozy pense, c’est qu’il n’y a pas de solution militaire », a ajouté M. Kouchner, qui a précisé être venu pour « écouter les Irakiens ». Un représentant du gouvernement irakien s’est dit « heureux » de cette visite.
Parallèlement, les dirigeants des principales communautés irakiennes, réunis autour du Premier ministre chiite Nouri al-Maliki, qui doit se rendre aujourd’hui à Damas, se sont entendus hier sur la tenue d’un sommet de crise pour sauver la coalition gouvernementale.
Quelques jours après que les présidents Nicolas Sarkozy et George W. Bush aient affiché leur proximité, le ministre français des Affaires étrangères, Bernard Kouchner, a entamé hier une visite surprise à Bagdad. Une première depuis le déclenchement de la guerre en Irak par les États-Unis en 2003, à laquelle Paris s’était fermement opposée.
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