Alors que Téhéran est engagé avec Bagdad dans des négociations sur la sécurité de l’Irak, au sein d’un comité comprenant les États-Unis, Adnan al-Doulaïmi, dirigeant du principal bloc sunnite de l’Irak, le Front de la concorde nationale, a accusé hier l’Iran de mener une « campagne génocidaire » contre sa communauté. Le 1er août, les ministres appartenant au Front de la...
Actualités - CHRONOLOGIE
Le PKK lance un avertissement à Bagdad et Ankara Un dirigeant sunnite irakien accuse l’Iran de « génocide »
le 14 août 2007 à 00h00
Alors que Téhéran est engagé avec Bagdad dans des négociations sur la sécurité de l’Irak, au sein d’un comité comprenant les États-Unis, Adnan al-Doulaïmi, dirigeant du principal bloc sunnite de l’Irak, le Front de la concorde nationale, a accusé hier l’Iran de mener une « campagne génocidaire » contre sa communauté. Le 1er août, les ministres appartenant au Front de la concorde nationale avaient démissionné du gouvernement du Premier ministre chiite Nouri al-Maliki. Ce dernier a, en outre, essuyé une attaque directe de la part de cheikh Harith al-Dari, chef de l’influente association des ulémas. Celui-ci a en effet appelé les Américains à lâcher le gouvernement « fantoche » de Maliki.
Parallèlement, sur le front nord, les rebelles kurdes du PKK ont réagi à la conclusion récente d’un accord de coopération entre la Turquie et l’Irak en mettant en garde ces deux pays contre toute politique de représailles contre leur mouvement indépendantiste.
Alors que Téhéran est engagé avec Bagdad dans des négociations sur la sécurité de l’Irak, au sein d’un comité comprenant les États-Unis, Adnan al-Doulaïmi, dirigeant du principal bloc sunnite de l’Irak, le Front de la concorde nationale, a accusé hier l’Iran de mener une « campagne génocidaire » contre sa communauté. Le 1er août, les ministres appartenant au Front de la...
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