Kassem : « Les discours du 14 février
ne sont pas valables pour le dialogue »
le 17 février 2006 à 00h00
Les discours prononcés le 14 février ne sont pas valables comme points de départ à un dialogue ou pour une nouvelle phase politique, a affirmé hier cheikh Naïm Kassem, qui s’exprimait sur Radio-Monte-Carlo.
Le numéro deux du Hezbollah a mis ces discours en contraste avec l’accord écrit auquel sa formation est parvenue avec le Courant patriotique libre.
« L’entente entre le Hezbollah et le général Aoun est la position la plus haute et la plus civilisée qui ait été prise dernièrement », a-t-il souligné, ajoutant que cette entente a eu lieu « entre deux grandes formations ayant chacune une large et réelle représentativité ».
Jugeant que ce dialogue est « un franc succès », cheikh Kassem a affirmé « qu’il n’a pas été écrit pour rester lettre morte », et relevé qu’il est parfaitement transparent et qu’il ne comprend « aucune clause secrète ».
« Tout le monde y a gagné, a dit en substance cheikh Kassem. Le général Aoun estime qu’il nous a rapprochés de l’idée d’un dialogue sur des sujets déterminés, et nous croyons que nous l’avons gagné à l’idée de n’en discuter qu’entre Libanais. »
Les discours prononcés le 14 février ne sont pas valables comme points de départ à un dialogue ou pour une nouvelle phase politique, a affirmé hier cheikh Naïm Kassem, qui s’exprimait sur Radio-Monte-Carlo.
Le numéro deux du Hezbollah a mis ces discours en contraste avec l’accord écrit auquel sa formation est parvenue avec le Courant patriotique libre.
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