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Barraj fustige les positions du Hezbollah et d’Amal

L’avocat Sinane Barraj, président de la commission pour la défense des libertés publiques et la démocratie, a estimé hier que la déclaration présidentielle adoptée par le Conseil de sécurité montre bien que les Libanais n’ont pas encore pu bénéficier d’une élection présidentielle libre des pressions et des ingérences extérieures. Énumérant les nombreuses raisons pour lesquelles, selon lui, le président de la République, Émile Lahoud, devrait quitter son poste, M. Barraj a dénoncé le boycottage du Conseil des ministres par les formations chiites. « Le pays ne peut plus supporter cette crise politique qui n’apporte que les désastres, et ce à travers le boycottage incompréhensible des ministres du Hezbollah et du mouvement Amal, d’autant que les prétextes invoqués ne sont plus convaincants et ne méritent plus d’être discutés. Ces prétextes n’ont d’ailleurs pas été avancés pour des raisons de politique intérieure, mais pour nuire aux intérêts libanais et servir ceux de la Syrie et de certaines forces régionales qui s’immiscent dans les affaires libanaises », a-t-il conclu.
L’avocat Sinane Barraj, président de la commission pour la défense des libertés publiques et la démocratie, a estimé hier que la déclaration présidentielle adoptée par le Conseil de sécurité montre bien que les Libanais n’ont pas encore pu bénéficier d’une élection présidentielle libre des pressions et des ingérences extérieures.
Énumérant les nombreuses raisons pour...