L’archéologue allemande Susanne Osthoff, récemment retenue en otage pendant 24 jours en Irak, se plaint dans une interview à paraître aujourd’hui d’être « détestée » et incomprise par ses compatriotes, qui lui reprochent, selon elle, d’avoir inutilement mis sa vie en danger. « Personne n’est de mon côté, et tout le monde essaye de faire de moi une pauvre folle, qui gambade...
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L’ex-otage allemande se plaint d’être détestée dans son pays
le 05 janvier 2006 à 00h00
L’archéologue allemande Susanne Osthoff, récemment retenue en otage pendant 24 jours en Irak, se plaint dans une interview à paraître aujourd’hui d’être « détestée » et incomprise par ses compatriotes, qui lui reprochent, selon elle, d’avoir inutilement mis sa vie en danger. « Personne n’est de mon côté, et tout le monde essaye de faire de moi une pauvre folle, qui gambade au hasard à travers l’Irak, entre les bombes et les mines », se plaint à l’hebdomadaire Stern l’ancienne otage, qui continue d’alimenter une polémique dans son pays natal en raison des intentions qu’on lui prête de retourner en Irak. « Je subis une campagne de haine comme si j’avais fait quelque chose de mal à l’Allemagne », estime encore Mme Osthoff, 43 ans, une archéologue convertie à l’islam, qui parle couramment l’arabe et qui a vécu une dizaine d’années en Irak.
L’archéologue allemande Susanne Osthoff, récemment retenue en otage pendant 24 jours en Irak, se plaint dans une interview à paraître aujourd’hui d’être « détestée » et incomprise par ses compatriotes, qui lui reprochent, selon elle, d’avoir inutilement mis sa vie en danger. « Personne n’est de mon côté, et tout le monde essaye de faire de moi une pauvre folle, qui gambade...
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