Beyrouth, Mgr Élias Audeh, pour lui présenter ses vœux à l’occasion des fêtes de fin de d’année. À l’issue de la visite, M. Rizk a exprimé son souhait de voir la prochaine année « moins triste et moins terne » que l’année qui vient de s’écouler. Prié de commenter les propos adressés...
Actualités
Sfeir a donné à Lahoud la latitude de choisir, estime Rizk
le 28 décembre 2005 à 00h00
Le ministre de la Justice, Charles Rizk, s’est rendu hier auprès du métropolite de
Beyrouth, Mgr Élias Audeh, pour lui présenter ses vœux à l’occasion des fêtes de fin de d’année. À l’issue de la visite, M. Rizk a exprimé son souhait de voir la prochaine année « moins triste et moins terne » que l’année qui vient de s’écouler. Prié de commenter les propos adressés par le patriarche maronite, Mgr Nasrallah Boutros Sfeir, au chef de l’État, Émile Lahoud, dimanche dernier, concernant une éventuelle démission, M. Rizk a indiqué que le prélat maronite a de tout temps fait « une nette distinction entre les valeurs spirituelles et la politique à proprement parler, en évitant de s’immiscer dans cette dernière ». « Si j’ai bien compris, le cardinal a laissé au chef de l’État la latitude de prendre lui-même la décision politique, se contentant de lui offrir ses prières. » À un journaliste qui affirmait que « le patriarche avait pourtant indiqué au chef de l’État qu’il attendait sa réponse », M. Rizk a répondu : « Mgr Sfeir n’a pas dit qu’il attendait une réponse. Il a simplement donné un avis et exprimé un souhait en priant Dieu d’inspirer le chef de l’État afin qu’il puisse parvenir à une décision. »
Interrogé par ailleurs sur la date d’arrivée de Serge Brammertz, le remplaçant présumé de Detlev Mehlis à la tête de la commission internationale sur l’assassinat de Rafic Hariri, le ministre a répondu qu’il « n’en a pas été informé officiellement ». « En principe, ce dossier devrait être réactivé au début de l’année prochaine avec la désignation officielle de M. Brammertz qui devrait arriver en compagnie de M. Mehlis pour la cérémonie de passation des pouvoirs », a-t-il dit.
Le ministre s’est ensuite rendu auprès de l’évêque maronite de Beyrouth, Mgr Boulos Matar, puis à l’archevêché maronite d’Antélias où il a rencontré l’évêque Mgr Youssef Béchara.
Le ministre de la Justice, Charles Rizk, s’est rendu hier auprès du métropolite de
Beyrouth, Mgr Élias Audeh, pour lui présenter ses vœux à l’occasion des fêtes de fin de d’année. À l’issue de la visite, M. Rizk a exprimé son souhait de voir la prochaine année « moins triste et moins terne » que l’année qui vient de s’écouler. Prié de commenter les propos adressés...
Beyrouth, Mgr Élias Audeh, pour lui présenter ses vœux à l’occasion des fêtes de fin de d’année. À l’issue de la visite, M. Rizk a exprimé son souhait de voir la prochaine année « moins triste et moins terne » que l’année qui vient de s’écouler. Prié de commenter les propos adressés...
Les plus commentés
Le Liban n’a pas besoin d’un nouveau Riad Salamé
Depuis les bancs de l’opposition, Bassil hausse le ton... sauf sur les armes
Quand Trump et Netanyahu veulent « relocaliser » les Gazaouis en Afrique de l’Est