Euromed - Siniora et Abbas envisagent l’échange de représentants diplomatiques
Le sommet de Barcelone boudé par les chefs d’État arabes
le 28 novembre 2005 à 00h00
BARCELONE, de notre envoyé
spécial Michel HAJJI-GEORGIOU
En l’absence de presque tous les chefs d’État arabes et du Premier ministre israélien, le premier sommet Euromed de l’histoire s’est ouvert hier à Barcelone sur fond de discussions difficiles sur le terrorisme.
Au demeurant, les chefs d’État libanais et syrien n’avaient pas été conviés aux célébrations en raison de la controverse entourant l’enquête de l’ONU sur l’assassinat de Rafic Hariri.
Une défection aussi massive des pays arabes s’explique, en partie, par la distinction que ces pays arabes veulent imposer entre le « terrorisme » et la « résistance » ainsi que sur la timidité de leur ouverture sur la société civile, en passe de devenir un fondement de toute vie démocratique.
Malgré les incertitudes pesant sur la réussite du sommet, côté arabe, les marges de l’événement ont été l’occasion de deux rencontres utiles, hier : l’une entre Fouad Siniora et le président de l’Autorité palestinienne Mahmoud Abbas, l’autre entre ce dernier et le ministre israélien des Finances. L’échange de représentants diplomatiques entre le Liban et l’Autorité a été au centre de l’entretien libano-palestinien.
BARCELONE, de notre envoyé
spécial Michel HAJJI-GEORGIOU
En l’absence de presque tous les chefs d’État arabes et du Premier ministre israélien, le premier sommet Euromed de l’histoire s’est ouvert hier à Barcelone sur fond de discussions difficiles sur le terrorisme.
Au demeurant, les chefs d’État libanais et syrien n’avaient pas été conviés aux célébrations en raison...
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