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Concert - Georges Moustaki au palais de l’Unesco Lorsque chante le poète…

« Moustaki, c’est ma tendresse », disait Barbara. Moustaki, c’est aussi l’émotion, la finesse, la liberté et la nostalgie, pourrait-on ajouter. Et la fidélité. Celle qu’il témoigne notamment à son public libanais qu’il retrouve dès qu’il en a l’occasion. En l’occurrence pour la quatrième fois, grâce à l’initiative d’Éléftériadès Productions. Au palais de l’Unesco où il s’est produit en concert hier (et où il se produira ce soir encore), le célèbre métèque n’a pas failli à sa légende. Plus de soixante-dix printemps au compteur, barbe et cheveux blancs, aux quatre vents, mais une voix, un talent et un charisme intacts. Accompagné de ses quatre musiciens, cet infatigable voyageur a emporté son auditoire des rives ensoleillées de la Méditerranée au cœur de l’Île-de-France en passant par les terres et les rythmes du Brésil… Vagabond, certes, comme l’affirme le titre de son dernier album, dont il a chanté quelques morceaux, Moustaki reste néanmoins attaché à ses racines : celles qui célèbrent l’amitié, l’amour, la Grèce et surtout la liberté… Des tubes intemporels et qui vont droit au cœur, car tirés de la vie même de leur auteur. Une vie condensée en près de deux heures de poèmes et de chansons. Pour une soirée placée sous l’égide des mots qui vibrent ! Z.Z.

« Moustaki, c’est ma tendresse », disait Barbara. Moustaki, c’est aussi l’émotion, la finesse, la liberté et la nostalgie, pourrait-on ajouter. Et la fidélité. Celle qu’il témoigne notamment à son public libanais qu’il retrouve dès qu’il en a l’occasion. En l’occurrence pour la quatrième fois, grâce à l’initiative d’Éléftériadès Productions. Au palais de...