Théâtre d’accrochages entre deux factions libanaises armées en octobre dernier, Hay el-Taamir, quartier de Saïda, situé à la frontière du camp palestinien de Aïn el-Héloué, attend toujours le déploiement de l’armée. Ce secteur, qui paie un prix trop élevé sa proximité avec Aïn el-Héloué, est devenu une zone de non-droit, où des fondamentalistes, armés et « soutenus de...
Actualités - CHRONOLOGIE
Le quartier paie le prix de sa proximité avec le camp de Aïn el-Héloué Hay el-Taamir, une zone de non-droit en plein Saïda
le 15 novembre 2005 à 00h00
Théâtre d’accrochages entre deux factions libanaises armées en octobre dernier, Hay el-Taamir, quartier de Saïda, situé à la frontière du camp palestinien de Aïn el-Héloué, attend toujours le déploiement de l’armée. Ce secteur, qui paie un prix trop élevé sa proximité avec Aïn el-Héloué, est devenu une zone de non-droit, où des fondamentalistes, armés et « soutenus de l’extérieur », font la loi.
La rixe d’octobre n’était pas la première, rapportent les habitants du quartier, expliquant que le groupuscule Jund el-Cham, mené par un hors-la-loi originaire de Tripoli, tente depuis plusieurs mois de semer la discorde. Notamment depuis qu’il a perdu le soutien de mouvements intégristes palestiniens présents à Aïn el-Héloué. Ceux-là préfèrent garder le profil bas depuis l’adoption de la résolution 1559.
Théâtre d’accrochages entre deux factions libanaises armées en octobre dernier, Hay el-Taamir, quartier de Saïda, situé à la frontière du camp palestinien de Aïn el-Héloué, attend toujours le déploiement de l’armée. Ce secteur, qui paie un prix trop élevé sa proximité avec Aïn el-Héloué, est devenu une zone de non-droit, où des fondamentalistes, armés et « soutenus de...
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