Comme un seul homme, et cela dure depuis des semaines. La France, les États-Unis, l’Union européenne, l’ONU ont de nouveau martelé hier, à l’adresse de la Syrie, la nécessité qu’elle coopère « pleinement et sans conditions » avec Detlev Mehlis, le chef de la commission d’enquête internationale sur l’assassinat de Rafic Hariri. Jacques Chirac,qui a rajouté dans son appel...
Actualités - CHRONOLOGIE
Chirac, Rice, Solana et Gambari martèlent la nécessaire coopération de Damas avec Mehlis L’étau se resserre, chaque jour un peu plus, autour de la Syrie
le 15 novembre 2005 à 00h00
Comme un seul homme, et cela dure depuis des semaines. La France, les États-Unis, l’Union européenne, l’ONU ont de nouveau martelé hier, à l’adresse de la Syrie, la nécessité qu’elle coopère « pleinement et sans conditions » avec Detlev Mehlis, le chef de la commission d’enquête internationale sur l’assassinat de Rafic Hariri. Jacques Chirac,qui a rajouté dans son appel l’indispensable application de la 1559, a tenu à affirmer que tout cela « n’est pas dirigé contre la Syrie ou son régime ». Condoleezza Rice a relevé que le refus de collaborer de Damas « ne fera qu’augmenter son isolement ». Javier Solana l’a dit sans ambages : « La Syrie ne coopère pas. » Quant à Ibrahim Gambari, l’adjoint de Kofi Annan pour les Affaires politiques, il a estimé que « le seul véritable choix de la Syrie est de coopérer » avec la commission internationale. Il est clair que chaque jour un peu plus, l’étau se resserre autour de la Syrie, qui continue de rejeter les conditions de Detlev Mehlis. Surtout que ce dernier n’en démord pas : ce sera le QG onusien de Monteverde ou rien.
Comme un seul homme, et cela dure depuis des semaines. La France, les États-Unis, l’Union européenne, l’ONU ont de nouveau martelé hier, à l’adresse de la Syrie, la nécessité qu’elle coopère « pleinement et sans conditions » avec Detlev Mehlis, le chef de la commission d’enquête internationale sur l’assassinat de Rafic Hariri. Jacques Chirac,qui a rajouté dans son appel...
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