Cette lettre j’aurai pu te l’écrire plus tôt, mais le monde est ainsi fait. Fouad, coexistaient en toi deux noms majestueux de la vieille montagne libanaise « Mallat » et « Moubarak », et Dieu seul sait combien tu les as honorés. Honoré est peu dire, toi qui as prêté le serment d’Hippocrate en l’honorant jusqu’à la fin. Cohabitant avec les malheurs, tes deux sœurs Odette et Évelyne, ta fille Joëlle, ta petite-fille Tala, toutes décédées dramatiquement, tu disais toujours : soyons positifs et continuons de profiter de la vie. Te voilà auprès d’elles, nous regardant de chez le Très-Haut. Repose en paix, mon oncle, toute ta famille te pleure, mais sera toujours là pour reprendre ton flambeau pour l’éternité. Youssef G. HADDAD