Si la hardiesse nous poussait à dire que le Dieu Sauveur fut crucifié non pas une fois, et cela depuis deux mille ans, mais des millions de fois, les gens nous prendraient sans doute pour des fous. Pourtant, c’est la plus amère des vérités, qu’on le veuille ou non.
Y a-t-il vraiment une différence tangible entre l’ancien et le nouveau crucifiement ? Sûrement pas, sauf que les moyens d’exécution ne sont plus archaïques comme le clou, la lance et le marteau. Les outils modernes se multiplient de nos jours d’une manière effrayante. Notre Dieu Sauveur est cloué à chaque minute de la journée, tant sur le plan collectif qu’individuel.
Ne voyons-nous pas que l’« orgueil » est le seul responsable de la première étincelle des guerres et des révolutions ? Pour les intérêts d’une poignée d’hommes drapés dans leur superbe, aveuglés par la folie des grandeurs et l’appât de « Mammon », le sang des innocents coule, les cœurs se déchirent et les ruines s’étendent à perte de vue. Leur passe-temps favori consiste à miser sur les biens d’un pays, sur la vie des peuples. Ne servent-ils pas, ces « grands hommes », de « boussole » aux as des industries de guerre ? Tout en sirotant leur café dans leurs « résidences d’été », ils commettent les plus atroces tueries. Et si on leur demandait la raison d’un tel comportement inhumain, ils répondraient : patriotisme, liberté, justice, etc. Quels mots banals, masquant mal le mensonge !
Voilà le Christ, crucifié à jamais, vendu de nouveau et renié dans les professions les plus nobles, avant, durant et après le chant du coq.
Il est temps de scruter fidèlement notre conscience afin d’y trouver les fautes par lesquelles le Cœur Divin est quotidiennement meurtri. Ne devons-nous pas à ce Père céleste notre félicité et notre salut ? Ô, Amour sublime ! Amour incomparable ! Quel que soit le degré d’amour humain, il restera toujours un amour égoïste. Hâtons-nous donc, hommes affamés et assoiffés, vers la table du Pain de Vie, pour nous vêtir de l’homme nouveau, en ce jour historique où Dieu a vaincu le monde par sa Glorieuse Résurrection !
« Celui qui croit en moi, quand bien même il serait mort, vivra éternellement ! »
Georgette MÉDAWAR
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Si la hardiesse nous poussait à dire que le Dieu Sauveur fut crucifié non pas une fois, et cela depuis deux mille ans, mais des millions de fois, les gens nous prendraient sans doute pour des fous. Pourtant, c’est la plus amère des vérités, qu’on le veuille ou non.
Y a-t-il vraiment une différence tangible entre l’ancien et le nouveau crucifiement ? Sûrement pas, sauf que les moyens d’exécution ne sont plus archaïques comme le clou, la lance et le marteau. Les outils modernes se multiplient de nos jours d’une manière effrayante. Notre Dieu Sauveur est cloué à chaque minute de la journée, tant sur le plan collectif qu’individuel.
Ne voyons-nous pas que l’« orgueil » est le seul responsable de la première étincelle des guerres et des révolutions ? Pour les intérêts d’une poignée d’hommes drapés...
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