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Actualités - CHRONOLOGIE

FINANCES Salamé : Il faut trouver des opportunités de placement de l’excédent de liquidités

Le gouverneur de la Banque centrale, Riad Salamé, a affirmé que la décision du conseil central de la BDL d’autoriser les banques à acquérir des valeurs mobilières émises par des entités des secteurs public et privé et de les autoriser, ainsi que les institutions financières, à accorder des crédits en dehors du Liban, tout en limitant les risques, encourageraient le mouvement des capitaux et permettraient de trouver des opportunités de placement au volume élevé des liquidités disponibles sur le marché. « Le cas échéant, cet excédent de liquidités évalué à près de cinq milliards de dollars sera une charge pour le secteur bancaire et financier », a-t-il dit. L’autorisation de la BDL est conditionnée par une notation de trois B au minimum accordée par une agence de notation internationale à l’entité émettrice des valeurs mobilières. La valeur de ces opérations d’acquisition est plafonnée à 25 % des avoirs propres des banques et des institutions financières. Lors de la rencontre mensuelle avec des représentants de l’Association des institutions financières, Riad Salamé a souligné les nombreux risques que présente la possibilité d’accorder des prêts à l’étranger en livres libanaises, affirmant qu’une telle démarche ouvre grande la porte à des opérations de spéculation. Celles-ci ne sont pas conformes à la politique de stabilité monétaire suivie par la BDL. « La pression sur la livre libanaise reste un interdit », a-t-il dit.
Le gouverneur de la Banque centrale, Riad Salamé, a affirmé que la décision du conseil central de la BDL d’autoriser les banques à acquérir des valeurs mobilières émises par des entités des secteurs public et privé et de les autoriser, ainsi que les institutions financières, à accorder des crédits en dehors du Liban, tout en limitant les risques, encourageraient le mouvement des...