Terrorisme
Cheney plaide pour une implication de l’Otan
le 27 janvier 2004 à 00h00
Le vice-président américain Dick Cheney a plaidé hier, au premier jour d’une visite officielle en Italie, pour un renforcement de l’Otan dans le cadre de la coopération internationale contre le terrorisme.
M. Cheney, qui prenait la parole devant le Sénat italien, a réaffirmé la détermination des États-Unis « à utiliser, en dernier ressort, la force militaire », comme cela a été le cas en Irak.
Soulignant à ce propos que la « démocratie commençait à prendre pied » dans un pays « longtemps soumis au pouvoir absolu d’un seul homme », il a ajouté : « Aujourd’hui, l’ancien dictateur est en captivité. Il ne peut plus abriter et soutenir des terroristes et les efforts qu’il a longtemps menés pour acquérir des armes de destruction massive sont maintenant terminés. »
M. Cheney n’a cependant pas réaffirmé que l’Irak disposait effectivement d’armes de destruction massive (ADM).
Évoquant la transformation de l’Otan au cours des dernières années, M. Cheney a estimé qu’il restait « encore du travail ». « Il y a un besoin crucial de davantage de forces susceptibles d’être déployées, a-t-il dit. Dans ce nouveau siècle, nous devons renforcer l’Otan et utiliser sa puissance contre les forces de la terreur mondiale. »
« Une autre priorité doit être une plus grande coopération entre l’Otan et l’Union européenne. Nous ne pouvons nous permettre le gâchis, le double emploi ou la compétition entre les deux grandes institutions à Bruxelles », a-t-il ajouté.
M. Cheney a d’autre part appelé Israël « à redoubler d’efforts en soulageant les souffrances des Palestiniens et en évitant des actions susceptibles de compromettre la viabilité à long terme d’une solution à deux États », l’un israélien et l’autre palestinien.
Le vice-président américain a dans le même temps appelé les dirigeants palestiniens à « comprendre que la terreur a été le pire ennemi du peuple palestinien et à être prêts à l’extirper de leur sein ».
Le vice-président américain Dick Cheney a plaidé hier, au premier jour d’une visite officielle en Italie, pour un renforcement de l’Otan dans le cadre de la coopération internationale contre le terrorisme.
M. Cheney, qui prenait la parole devant le Sénat italien, a réaffirmé la détermination des États-Unis « à utiliser, en dernier ressort, la force militaire », comme cela a été le cas en Irak.
Soulignant à ce propos que la « démocratie commençait à prendre pied » dans un pays « longtemps soumis au pouvoir absolu d’un seul homme », il a ajouté : « Aujourd’hui, l’ancien dictateur est en captivité. Il ne peut plus abriter et soutenir des terroristes et les efforts qu’il a longtemps menés pour acquérir des armes de destruction massive sont maintenant terminés. »
M. Cheney n’a cependant pas...
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