Au lendemain des affirmations, pour le moins embarrassantes, de David Kay sur l’absence d’armes de destruction massive (ADM) en Irak, la Maison-Blanche cherchait à esquiver hier le coup porté par les propos de l’ex-chef des inspecteurs américains. Dans le même temps, Tony Blair se retrouve lui aussi dans une position délicate : le Premier ministre britannique doit en effet faire face à « l’affaire Kelly », du nom d’un scientifique qui avait affirmé en mai dernier que la menace des ADM irakiennes était exagérée.
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Au lendemain des affirmations, pour le moins embarrassantes, de David Kay sur l’absence d’armes de destruction massive (ADM) en Irak, la Maison-Blanche cherchait à esquiver hier le coup porté par les propos de l’ex-chef des inspecteurs américains. Dans le même temps, Tony Blair se retrouve lui aussi dans une position délicate : le Premier ministre britannique doit en effet faire face à « l’affaire Kelly », du nom d’un scientifique qui avait affirmé en mai dernier que la menace des ADM irakiennes était exagérée.
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