Quinze organisations non gouvernementales égyptiennes ont annoncé hier qu’elles refuseraient de collaborer avec le nouveau Conseil des droits de l’homme, estimant qu’il n’est pas « crédible » dans le contexte de l’état d’urgence en vigueur en Égypte depuis 23 ans. Pour reconsidérer leur décision, elles ont notamment appelé le gouvernement à lever l’état d’urgence et à autoriser la libre constitution de partis politiques, d’associations, de syndicats, et la parution de journaux. Les autorités égyptiennes ont annoncé le 19 janvier la création de ce conseil, composé de 25 membres et présidé par l’ancien secrétaire général de l’Onu et de l’Organisation internationale de la francophonie (OIF) Boutros Boutros-Ghali.
Parallèlement, une association égyptienne de défense des droits de l’homme a accusé hier la police d’Alexandrie d’avoir torturé un Égyptien, qui s’était présenté en retard pour le paiement d’une amende de 100 livres égyptiennes (environ 15 dollars).
Quinze organisations non gouvernementales égyptiennes ont annoncé hier qu’elles refuseraient de collaborer avec le nouveau Conseil des droits de l’homme, estimant qu’il n’est pas « crédible » dans le contexte de l’état d’urgence en vigueur en Égypte depuis 23 ans. Pour reconsidérer leur décision, elles ont notamment appelé le gouvernement à lever l’état d’urgence et à autoriser la libre constitution de partis politiques, d’associations, de syndicats, et la parution de journaux. Les autorités égyptiennes ont annoncé le 19 janvier la création de ce conseil, composé de 25 membres et présidé par l’ancien secrétaire général de l’Onu et de l’Organisation internationale de la francophonie (OIF) Boutros Boutros-Ghali.
Parallèlement, une association égyptienne de défense des droits de l’homme a...
Parallèlement, une association égyptienne de défense des droits de l’homme a...