Le Premier ministre syrien Mohammed Naji Otri a accusé hier Israël de ne pas vouloir la paix et estimé que ce pays était le « seul bénéficiaire » de l’occupation américano-britannique de l’Irak, à l’occasion d’une réunion à Damas du Haut comité mixte syro-iranien.
Cette réunion, coprésidée par M. Otri et le Premier vice-président iranien Mohammed Reza Aref, a entamé en soirée ses discussions axées sur la coopération économique et les moyens d’augmenter les échanges bilatéraux, selon l’agence officielle Sana.
M. Otri, cité par Sana, a réaffirmé « l’attachement » de son pays à la paix au Proche-Orient et réitéré la demande syrienne d’une reprise des négociations avec Israël « là où elles s’étaient arrêtées (en janvier 2000) et sur la base des principes de la conférence de Madrid et des résolutions de l’Onu, appelant à un retrait d’Israël de tous les territoires arabes occupés, notamment du Golan » syrien.
Avant l’arrêt des négociations en janvier 2000, le gouvernement travailliste israélien envisageait un retrait de la quasi-totalité du Golan, hormis une bande étroite de terre longeant la rive orientale du lac de Tibériade, le principal réservoir d’eau douce d’Israël.
Le Premier ministre syrien Mohammed Naji Otri a accusé hier Israël de ne pas vouloir la paix et estimé que ce pays était le « seul bénéficiaire » de l’occupation américano-britannique de l’Irak, à l’occasion d’une réunion à Damas du Haut comité mixte syro-iranien.
Cette réunion, coprésidée par M. Otri et le Premier vice-président iranien Mohammed Reza Aref, a entamé en soirée ses discussions axées sur la coopération économique et les moyens d’augmenter les échanges bilatéraux, selon l’agence officielle Sana.
M. Otri, cité par Sana, a réaffirmé « l’attachement » de son pays à la paix au Proche-Orient et réitéré la demande syrienne d’une reprise des négociations avec Israël « là où elles s’étaient arrêtées (en janvier 2000) et sur la base des principes de la conférence de Madrid...
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