Il a en outre estimé, en réponse à une question, que le président de l’Autorité palestinienne Yasser Arafat ne pouvait être considéré comme « hors jeu », comme le réclame Israël, « puisqu’il n’est pas hors jeu pour...
Actualités - CHRONOLOGIE
Fischer prône un changement « substantiel » du tracé de la clôture
le 17 février 2004 à 00h00
Le ministre allemand des Affaires étrangères Joschka Fischer a souhaité hier au nom de l’Europe un changement « substantiel » du tracé de la ligne de séparation érigée par Israël en Cisjordanie occupée. Il a souligné que l’Europe ne s’opposait pas en principe à cet ouvrage controversé, mais à son tracé. « Tout gouvernement a le droit et le devoir de combattre le terrorisme. Nous ne mettons pas cela en cause, mais nous critiquons le tracé de la clôture », a-t-il déclaré lors d’un colloque sur les relations entre l’Europe élargie et Israël, à Herzliya au nord de Tel-Aviv.
Il a en outre estimé, en réponse à une question, que le président de l’Autorité palestinienne Yasser Arafat ne pouvait être considéré comme « hors jeu », comme le réclame Israël, « puisqu’il n’est pas hors jeu pour les Palestiniens ».
Le Premier ministre palestinien Ahmed Qoreï a estimé, pour sa part, lundi à Berlin que la ligne de sécurité construite par Israël en Cisjordanie ne laissait « pas de place à un État palestinien ». M. Qoreï, qui effectue son premier déplacement à Berlin en tant que Premier ministre, doit rencontrer aujourd’hui, dans le cadre de cette tournée européenne, le chancelier allemand Gerhard Schröder et M. Fischer.
Le ministre allemand des Affaires étrangères Joschka Fischer a souhaité hier au nom de l’Europe un changement « substantiel » du tracé de la ligne de séparation érigée par Israël en Cisjordanie occupée. Il a souligné que l’Europe ne s’opposait pas en principe à cet ouvrage controversé, mais à son tracé. « Tout gouvernement a le droit et le devoir de combattre le terrorisme. Nous ne mettons pas cela en cause, mais nous critiquons le tracé de la clôture », a-t-il déclaré lors d’un colloque sur les relations entre l’Europe élargie et Israël, à Herzliya au nord de Tel-Aviv.
Il a en outre estimé, en réponse à une question, que le président de l’Autorité palestinienne Yasser Arafat ne pouvait être considéré comme « hors jeu », comme le réclame Israël, « puisqu’il n’est pas hors jeu pour...
Il a en outre estimé, en réponse à une question, que le président de l’Autorité palestinienne Yasser Arafat ne pouvait être considéré comme « hors jeu », comme le réclame Israël, « puisqu’il n’est pas hors jeu pour...