Le sous-secrétaire d’État américain chargé du désarmement, John Bolton, a déclaré hier à Berlin que les États-Unis « n’avaient pas de doutes » que l’Iran continue son programme d’armes nucléaires. Interrogé sur une éventuelle sanction militaire, le responsable américain s’est contenté de répondre : « Nous avons toute une série d’options. » « Nous allons examiner sérieusement quoi faire à propos de l’Iran, prochainement », en coopération avec les Français, les Britanniques et les Allemands, a-t-il ajouté, précisant que l’option qui sera choisie « dépendra des Iraniens ». Le chef de la diplomatie iranienne Kamal Kharazi a réaffirmé hier à Rome que son pays « n’a pas de plan de développement d’armes nucléaires » et confirmé la volonté de Téhéran de coopérer avec l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA). Selon des diplomates à Vienne, les inspecteurs de l’AIEA ont trouvé en Iran les plans d’un modèle avancé de centrifugeuse que Téhéran n’avait pas déclarés, contrairement à son engagement de faire toute la lumière sur son programme nucléaire.
Le sous-secrétaire d’État américain chargé du désarmement, John Bolton, a déclaré hier à Berlin que les États-Unis « n’avaient pas de doutes » que l’Iran continue son programme d’armes nucléaires. Interrogé sur une éventuelle sanction militaire, le responsable américain s’est contenté de répondre : « Nous avons toute une série d’options. » « Nous allons examiner sérieusement quoi faire à propos de l’Iran, prochainement », en coopération avec les Français, les Britanniques et les Allemands, a-t-il ajouté, précisant que l’option qui sera choisie « dépendra des Iraniens ». Le chef de la diplomatie iranienne Kamal Kharazi a réaffirmé hier à Rome que son pays « n’a pas de plan de développement d’armes nucléaires » et confirmé la volonté de Téhéran de coopérer avec l’Agence...