Plusieurs ministres et vice-présidents iraniens ont présenté hier leur démission pour forcer le barrage fait aux candidatures de leur camp aux législatives du 20 février.
À un mois du scrutin, plusieurs membres du gouvernement réformateur du président Mohammed Khatami ont ainsi mis à exécution la menace de démission brandie contre le rejet massif des candidatures réformatrices, a annoncé le vice-président Mohammed Ali Abtahi, en évoquant la possibilité que le président lui-même se démette de ses fonctions.
Mais M. Khatami a estimé que la crise allait se résoudre et déboucher sur un scrutin « libre », lors d’une conférence de presse en marge du Forum économique de Davos.
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Plusieurs ministres et vice-présidents iraniens ont présenté hier leur démission pour forcer le barrage fait aux candidatures de leur camp aux législatives du 20 février.
À un mois du scrutin, plusieurs membres du gouvernement réformateur du président Mohammed Khatami ont ainsi mis à exécution la menace de démission brandie contre le rejet massif des candidatures réformatrices, a annoncé le vice-président Mohammed Ali Abtahi, en évoquant la possibilité que le président lui-même se démette de ses fonctions.
Mais M. Khatami a estimé que la crise allait se résoudre et déboucher sur un scrutin « libre », lors d’une conférence de presse en marge du Forum économique de Davos.
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À un mois du scrutin, plusieurs membres du gouvernement réformateur du président Mohammed Khatami ont ainsi mis à exécution la menace de démission brandie contre le rejet massif des candidatures réformatrices, a annoncé le vice-président Mohammed Ali Abtahi, en évoquant la possibilité que le président lui-même se démette de ses fonctions.
Mais M. Khatami a estimé que la crise allait se résoudre et déboucher sur un scrutin « libre », lors d’une conférence de presse en marge du Forum économique de Davos.
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