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Crash de Charm el-Cheikh La thèse de l’attentat écartée

La thèse de l’attentat terroriste a été écartée à la suite d’une « première lecture » des boîtes noires du Boeing 737-300 de Flash Airlines par les enquêteurs qui privilégient « une conjonction de facteurs techniques et opérationnels » pour expliquer la catastrophe de Charm el-Cheikh. « Nous sommes certains qu’il n’y a pas eu d’acte terroriste », a annoncé le président de la commission d’enquête égyptienne Shaker Kelada. Ses déclarations ont été appuyées par M. Gérard Legauffre, représentant du Bureau enquête accident (BEA-France). M. Legauffre a souligné que les équipes françaises et américaines d’investigation « travaillent en parfaite harmonie » avec l’équipe égyptienne et qu’elles ont « accès à l’ensemble des informations sans problème ». La catastrophe aérienne avait été revendiquée dans un appel téléphonique à l’AFP au Caire comme un « attentat » par un interlocuteur anonyme se réclamant d’un groupe islamiste inconnu, Ansar el-Haq (Les partisans de la justice), basé au Yémen.
La thèse de l’attentat terroriste a été écartée à la suite d’une « première lecture » des boîtes noires du Boeing 737-300 de Flash Airlines par les enquêteurs qui privilégient « une conjonction de facteurs techniques et opérationnels » pour expliquer la catastrophe de Charm el-Cheikh. « Nous sommes certains qu’il n’y a pas eu d’acte terroriste », a annoncé le président de la commission d’enquête égyptienne Shaker Kelada.
Ses déclarations ont été appuyées par M. Gérard Legauffre, représentant du Bureau enquête accident (BEA-France). M. Legauffre a souligné que les équipes françaises et américaines d’investigation « travaillent en parfaite harmonie » avec l’équipe égyptienne et qu’elles ont « accès à l’ensemble des informations sans problème ».
La catastrophe aérienne avait...