L’envoyé spécial américain James Baker a obtenu du Qatar l’allègement de la dette irakienne, à l’occasion d’une tournée dans le Golfe qui l’a conduit également aux Émirats arabes unis, avant une visite en Arabie saoudite.
« Qatar va effacer le gros de la dette de l’Irak et il examinera plus tard l’annulation de l’ensemble de cette dette au moment opportun », a déclaré un porte-parole du ministère qatariote des Affaires étrangères après un entretien de M. Baker à Doha avec le prince héritier du royaume, cheikh Tamim ben Hamad al-Thani.
Ce porte-parole n’a pas précisé l’étendue de la dette irakienne envers Qatar, ni le montant qui serait effacé.
Le ministre des Finances du Qatar, Youssef Kamal, s’est refusé à donner la moindre précision sur cette dette.
Peu après son arrivée dans les Émirats, l’émissaire américain a été reçu par le prince héritier d’Abou Dhabi, cheikh Khalifa ben Zayed al-Nahyane, qui l’a assuré que son pays « fait tout son possible pour aider le peuple irakien », selon l’agence officielle Wam.
L’agence n’a donné aucune indication sur la dette de l’Irak envers les Émirats, ni sur les éventuelles dispositions prises par ce pays concernant la dette.
Après Qatar et les Émirats, M. Baker doit se rendre en Arabie saoudite, selon le porte-parole de la Maison Blanche, Scott McClellan.
En octobre dernier, le quotidien saoudien al-Yom, citant un haut responsable saoudien, avait affirmé que Ryad comptait rééchelonner la dette irakienne envers le royaume, estimée au total à 28 milliards de dollars.
Lors de la Conférence des donateurs à Madrid, le royaume saoudien avait annoncé son intention de contribuer à hauteur d’un milliard de dollars à la reconstruction de l’Irak.
M. Baker a effectué récemment des tournées en Europe et en Asie qui lui ont permis d’obtenir des engagements de principe pour réduire la dette irakienne, estimée à 120 milliards de dollars.
La dette irakienne envers les monarchies du Golfe a été contractée notamment durant la sanglante guerre ayant opposé l’Irak à l’Iran de 1980 à 1988.
L’envoyé spécial américain James Baker a obtenu du Qatar l’allègement de la dette irakienne, à l’occasion d’une tournée dans le Golfe qui l’a conduit également aux Émirats arabes unis, avant une visite en Arabie saoudite.
« Qatar va effacer le gros de la dette de l’Irak et il examinera plus tard l’annulation de l’ensemble de cette dette au moment opportun », a déclaré un porte-parole du ministère qatariote des Affaires étrangères après un entretien de M. Baker à Doha avec le prince héritier du royaume, cheikh Tamim ben Hamad al-Thani.
Ce porte-parole n’a pas précisé l’étendue de la dette irakienne envers Qatar, ni le montant qui serait effacé.
Le ministre des Finances du Qatar, Youssef Kamal, s’est refusé à donner la moindre précision sur cette dette.
Peu après son arrivée dans les...
« Qatar va effacer le gros de la dette de l’Irak et il examinera plus tard l’annulation de l’ensemble de cette dette au moment opportun », a déclaré un porte-parole du ministère qatariote des Affaires étrangères après un entretien de M. Baker à Doha avec le prince héritier du royaume, cheikh Tamim ben Hamad al-Thani.
Ce porte-parole n’a pas précisé l’étendue de la dette irakienne envers Qatar, ni le montant qui serait effacé.
Le ministre des Finances du Qatar, Youssef Kamal, s’est refusé à donner la moindre précision sur cette dette.
Peu après son arrivée dans les...
