Des experts iraniens et émiratis ont lancé hier l’enquête sur le crash d’un avion de la compagnie iranienne Kish Air, qui s’est écrasé la veille près de l’aéroport de Charjah aux Émirats arabes unis, tuant 43 personnes et en blessant trois autres. « Des experts de l’Organisation de l’aviation civile iranienne (OIAC) ont commencé leur enquête avec des représentants de l’Autorité de l’Aviation civile des Émirats » à Dubaï, émirat voisin de Charjah, a déclaré le chef de l’Autorité de l’aviation civile de Charjah, Abdel Wahab Mohammed al-Roumi. Selon lui, un représentant de l’aviation civile de Charjah participe à la réunion de Dubaï.
L’avion, un biturbopropulseurs de fabrication néerlandaise venait de l’île de Kish, un haut lieu du tourisme et des échanges commerciaux avec l’étranger. Alors qu’il s’apprêtait à atterrir, l’appareil s’est écrasé à quelques dizaines de mètres d’une zone résidentielle, à près de quatre kilomètres de l’aéroport.
Des experts iraniens et émiratis ont lancé hier l’enquête sur le crash d’un avion de la compagnie iranienne Kish Air, qui s’est écrasé la veille près de l’aéroport de Charjah aux Émirats arabes unis, tuant 43 personnes et en blessant trois autres. « Des experts de l’Organisation de l’aviation civile iranienne (OIAC) ont commencé leur enquête avec des représentants de l’Autorité de l’Aviation civile des Émirats » à Dubaï, émirat voisin de Charjah, a déclaré le chef de l’Autorité de l’aviation civile de Charjah, Abdel Wahab Mohammed al-Roumi. Selon lui, un représentant de l’aviation civile de Charjah participe à la réunion de Dubaï.
L’avion, un biturbopropulseurs de fabrication néerlandaise venait de l’île de Kish, un haut lieu du tourisme et des échanges commerciaux avec...
L’avion, un biturbopropulseurs de fabrication néerlandaise venait de l’île de Kish, un haut lieu du tourisme et des échanges commerciaux avec...
