Actualités - CHRONOLOGIE
Turquie Une femme sauvée après 157 heures sous les décombres d’un immeuble
le 10 février 2004 à 00h00
Une femme de 24 ans, enterrée vivante pendant près d’une semaine, a été dégagée hier des décombres d’un immeuble de 11 étages à Konya (centre de la Turquie), devenant ainsi la seconde « miraculée », en deux jours, d’un drame qui a fait au moins 85 morts. Sous les applaudissements des sauveteurs, qui ont travaillé pendant trois heures et demie pour la libérer, la jeune femme, qui a passé 157 heures sous les décombres, a été chargée sur une civière et transportée en ambulance à l’hôpital de la ville. Yasemin Yaprakci était très faible, mais consciente, selon ses sauveteurs. Son état de santé, jugé très sérieux, a ensuite nécessité son évacuation par hélicoptère vers un hôpital militaire d’Ankara. Durant le sauvetage, les médecins lui ont administré du sérum tandis que les sauveteurs travaillaient à lever une poutrelle en béton qui lui clouait une jambe. Elle souffre au moins d’une fracture et de gangrène, selon Riza Saribabicci, responsable du principal hôpital de Konya.
Une femme de 24 ans, enterrée vivante pendant près d’une semaine, a été dégagée hier des décombres d’un immeuble de 11 étages à Konya (centre de la Turquie), devenant ainsi la seconde « miraculée », en deux jours, d’un drame qui a fait au moins 85 morts. Sous les applaudissements des sauveteurs, qui ont travaillé pendant trois heures et demie pour la libérer, la jeune femme, qui a passé 157 heures sous les décombres, a été chargée sur une civière et transportée en ambulance à l’hôpital de la ville. Yasemin Yaprakci était très faible, mais consciente, selon ses sauveteurs. Son état de santé, jugé très sérieux, a ensuite nécessité son évacuation par hélicoptère vers un hôpital militaire d’Ankara. Durant le sauvetage, les médecins lui ont administré du sérum tandis que les sauveteurs...
Les plus commentés
La banlieue sud de Beyrouth de nouveau sous le feu israélien
Pour les 20 ans du départ de l'armée syrienne, Bassil parle d'une « deuxième occupation »
De l'aéroport au cabinet médical : quand la diaspora libanaise revient se faire soigner au pays