PEINE CAPITALE - Les ONG ont livré une ultime bataille pour obtenir la clémence du chef de l’État
Jusqu’à l’aube, la terrible attente de la mort
le 17 janvier 2004 à 00h00
Mobilisés en force pour dénoncer ce qu’ils considèrent être un « autre crime », les défenseurs des droits de l’homme ont espéré, jusqu’à la dernière minute, un retournement spectaculaire. Que rien, malheureusement, ne semblait laisser espérer, le chef de l’État étant demeuré, jusqu’au bout, inflexible. C’est à 5 heures précises que les exécutions devaient avoir lieu, loin des yeux du public et des abolitionnistes qui ont observé, jusqu’à l’aube, un sit-in silencieux devant la prison de Roumieh. Badih Hamadé, Ahmad Mansour ont eu droit aux dernières visites de leurs parents. Rémy Zaatar, qui avait vu sa mère la veille, n’a pas pu lui faire ses adieux.
Page 4, le reportage
de Jeanine JALKH
Mobilisés en force pour dénoncer ce qu’ils considèrent être un « autre crime », les défenseurs des droits de l’homme ont espéré, jusqu’à la dernière minute, un retournement spectaculaire. Que rien, malheureusement, ne semblait laisser espérer, le chef de l’État étant demeuré, jusqu’au bout, inflexible. C’est à 5 heures précises que les exécutions devaient avoir lieu, loin des yeux du public et des abolitionnistes qui ont observé, jusqu’à l’aube, un sit-in silencieux devant la prison de Roumieh. Badih Hamadé, Ahmad Mansour ont eu droit aux dernières visites de leurs parents. Rémy Zaatar, qui avait vu sa mère la veille, n’a pas pu lui faire ses adieux.
Page 4, le reportage
de Jeanine JALKH
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