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Publiscopie - Banques d’affaires et sociétés financières Adages boursiers
Par MISSIR JOELLE, le 09 mai 2002 à 00h00
Les spécialistes du marché des actions connaissent un nombre incalculable de maximes, adages, proverbes qui résument le comportement à adopter pour bien réussir en Bourse. «Les arbres ne montent pas au ciel» : les plus belles progressions connaissent une fin. Il ne faut pas hésiter à vendre quand l’action est déjà bien valorisée. Pour ceux qui hésitent à vendre en pensant qu’ils vont vendre trop tôt, voici une phrase attribuée à Rotschild : «J’ai fait fortune en laissant les autres gagner de l’argent après moi», cet homme se targuant d’avoir amassé sa fortune en vendant trop tôt. «Il faut savoir se couper un bras» : inutile de s’entêter sur une valeur qui a déçu, même si l’on avait fondé de grands espoirs. On peut vendre à perte pour faire un arbitrage dans le portefeuille. «Acheter la rumeur et vendre la nouvelle» : le cours de l’action reflète d’une anticipation. Un titre progressera avec des rumeurs, alors qu’il ne progressera pas si la nouvelle est conforme aux prévisions. Il est trop tard pour acheter. «Acheter au son du canon, vendre au son du violon» : il est préférable d’acheter quand la situation paraît menaçante et de vendre quand tout est favorable. Dans le sens inverse c’est plus tentant, mais cela induit souvent des pertes.
Les spécialistes du marché des actions connaissent un nombre incalculable de maximes, adages, proverbes qui résument le comportement à adopter pour bien réussir en Bourse. «Les arbres ne montent pas au ciel» : les plus belles progressions connaissent une fin. Il ne faut pas hésiter à vendre quand l’action est déjà bien valorisée. Pour ceux qui hésitent à vendre en pensant qu’ils vont vendre trop tôt, voici une phrase attribuée à Rotschild : «J’ai fait fortune en laissant les autres gagner de l’argent après moi», cet homme se targuant d’avoir amassé sa fortune en vendant trop tôt. «Il faut savoir se couper un bras» : inutile de s’entêter sur une valeur qui a déçu, même si l’on avait fondé de grands espoirs. On peut vendre à perte pour faire un arbitrage dans le portefeuille. «Acheter la rumeur...