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Actualités - CHRONOLOGIE

Formule 1 - GP d’Espagne demain Entre craintes et espoirs

La Formule 1 aborde avec certaines craintes le Grand Prix d’Espagne, cinquième épreuve du championnat du monde, cette fin de semaine sur le circuit de Catalunya à Montmelo, près de Barcelone. La suprématie exercée à Imola, il y a quinze jours, par Ferrari, par Michael Schumacher et Rubens Barrichello, inquiète la discipline, les rivaux de la Scuderia. Certes la F1 est coutumière du fait. Il y a eu le cycle McLaren, puis Williams-Renault, à nouveau McLaren et maintenant Ferrari. Toutefois, les débuts de la F2002 laissent peser la menace d’une course au titre trop rapidement réglée, d’un cavalier seul aussi impressionnant que lénifiant. D’autant que si le tracé catalan a fait la part belle à McLaren-Mercedes les saisons précédentes, l’équipe anglo-allemande paraît cette fois trop tendre pour contester la victoire à la Scuderia. Les monoplaces italiennes semblent devoir être plus à l’aise aujourd’hui. Contrairement au passé en effet, Ferrari n’a pas hésité à rejoindre ses adversaires pour des essais privés ces dernières semaines sur ce circuit de Catalunya, lieu privilégié des tests hivernaux. «Nous avons effectué de bons essais en Catalogne, prévenait Michael Schumacher. Nous y sommes venus à plusieurs reprises et notre connaissance de la nouvelle voiture est bonne». Circuit exigeant, technique, alternant longues courbes rapides privilégiant l’aérodynamique, et virages serrés où la motricité mécanique est importante, revêtement abrasif, très dur pour les pneumatiques, le tracé catalan est devenu la référence, comme Estoril (Portugal) l’était par le passé. Et si, après le meilleur temps réalisé déjà par Michael Schumacher hier, la F2002 venait à confirmer en qualifications et en course sa domination d’Imola, le coup serait rude pour la F1, pour Williams-BMW, McLaren-Mercedes notamment, ces équipes qui ambitionnaient de contester les titres mondiaux à Ferrari et Michael Schumacher.
La Formule 1 aborde avec certaines craintes le Grand Prix d’Espagne, cinquième épreuve du championnat du monde, cette fin de semaine sur le circuit de Catalunya à Montmelo, près de Barcelone. La suprématie exercée à Imola, il y a quinze jours, par Ferrari, par Michael Schumacher et Rubens Barrichello, inquiète la discipline, les rivaux de la Scuderia. Certes la F1 est coutumière du fait. Il y a eu le cycle McLaren, puis Williams-Renault, à nouveau McLaren et maintenant Ferrari. Toutefois, les débuts de la F2002 laissent peser la menace d’une course au titre trop rapidement réglée, d’un cavalier seul aussi impressionnant que lénifiant. D’autant que si le tracé catalan a fait la part belle à McLaren-Mercedes les saisons précédentes, l’équipe anglo-allemande paraît cette fois trop tendre pour contester la...