M. Fouad Siniora, ministre des Finances, a indiqué que «les pays arabes qui ont réussi le processus de redressement économique et social et ont enregistré une croissance économique sont ceux qui ont développé leur système et leurs programmes d’éducation de façon à ce qu’ils correspondent aux besoins de leur économie». Dans une allocution qu’«il a prononcée lors de sa participation au congrès sur le renforcement des liens entre l’éducation et les marchés de travail dans les pays arabes», M. Siniora a précisé que «ces pays ont formé les jeunes de façon à ce qu’ils soient productifs et capables d’élever les niveaux de production». «Les institutions pédagogiques ne doivent pas rester à l’écart de la réalité du marché de travail, des besoins de l’économie et de sa réalité», a poursuivi le ministre des Finances. M. Siniora a indiqué que «le gouvernement serait obligé tôt ou tard de remettre en question les programmes scolaires dans le but d’élever le niveau et de modifier les méthodes d’enseignement qui sont révolus». Il a considéré que «la méthode actuelle aboutit à mettre sur le marché un grand nombre de diplômés incapables de s‘accommoder aux exigences du marché du travail et aux besoins de l’économie». Et d’ajouter que «de cette façon, on se retrouve avec de nombreux diplômés au chômage affectant de façon négative la situation socioéconomique du pays».
M. Fouad Siniora, ministre des Finances, a indiqué que «les pays arabes qui ont réussi le processus de redressement économique et social et ont enregistré une croissance économique sont ceux qui ont développé leur système et leurs programmes d’éducation de façon à ce qu’ils correspondent aux besoins de leur économie». Dans une allocution qu’«il a prononcée lors de sa participation au congrès sur le renforcement des liens entre l’éducation et les marchés de travail dans les pays arabes», M. Siniora a précisé que «ces pays ont formé les jeunes de façon à ce qu’ils soient productifs et capables d’élever les niveaux de production». «Les institutions pédagogiques ne doivent pas rester à l’écart de la réalité du marché de travail, des besoins de l’économie et de sa réalité», a poursuivi...