Rechercher
Rechercher

Actualités

EN BREF Libye Le fils du dirigeant libyen pris à partie à Paris

Le fils du colonel Mouammar Kadhafi, Seif el-Islam Kadhafi, a été vivement pris à partie hier à Paris par Françoise Rudetzki, présidente de l’association SOS-Attentats, au nom des victimes de l’attentat contre un DC-10 d’UTA qui avait fait 170 morts en 1989. À l’issue d’une conférence que le dirigeant libyen a donnée devant l’Institut français des relations internationales (IFRI), Mme Rudetzki lui a demandé s’il entrait «dans les fonctions d’un chef d’État de tuer 170 personnes», en faisant référence à cet attentat pour lequel la justice française a condamné par contumace six responsables libyens. «Peut-on construire l’avenir sur le sang des morts», a-t-elle lancé à l’adresse de M. Khadafi. «Il n’est pas question pour nous d’abandonner les poursuites», a-t-elle ajouté en indiquant qu’elle entendait porter cette affaire devant la Cour européenne des droits de l’homme.
Le fils du colonel Mouammar Kadhafi, Seif el-Islam Kadhafi, a été vivement pris à partie hier à Paris par Françoise Rudetzki, présidente de l’association SOS-Attentats, au nom des victimes de l’attentat contre un DC-10 d’UTA qui avait fait 170 morts en 1989. À l’issue d’une conférence que le dirigeant libyen a donnée devant l’Institut français des relations internationales (IFRI), Mme Rudetzki lui a demandé s’il entrait «dans les fonctions d’un chef d’État de tuer 170 personnes», en faisant référence à cet attentat pour lequel la justice française a condamné par contumace six responsables libyens. «Peut-on construire l’avenir sur le sang des morts», a-t-elle lancé à l’adresse de M. Khadafi. «Il n’est pas question pour nous d’abandonner les poursuites», a-t-elle ajouté en indiquant...