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Actualités - CHRONOLOGIES

CONCERT - Hélène Ségara au Casino du Liban - La star au cœur tendre - enflamme ses fans

Le week-end écoulé, au casino du Liban, Hélène Ségara a conquis le public libanais, dans une salle quasiment bondée. Un public jeune, composé majoritairement d’enfants et d’adolescents, qui ne s’est pas fait prier pour accompagner sa star dans une ambiance à la fois nostalgique et surchauffée. Tour à tour bohémienne, dans une jupe rouge flamboyante, sexy, en pantalon noir moulant, et romantique, en robe longue noire, Hélène Ségara a enflammé la salle en chantant l’amour, la séparation, la rupture. Sa voix, ses chansons, ses déhanchements, mais aussi ce contact si simple avec le public, qu’elle était heureuse «d’apprivoiser», ont fait passer à l’assistance une soirée inoubliable. Au programme, ses derniers tubes, comme Elle tu l’aimes, Tu vas me quitter, Il y a trop de gens qui t’aiment, Au nom d’une femme, mais aussi ses premiers succès, Je vous aime adieu (dont elle a écrit les paroles), Vivo per lei avec, en play-back, la voix d’Andrea Boccelli. «Fermez les yeux, et faites comme s’il était là», dit-elle simplement. Dans un clin d’œil à Notre-Dame de Paris, pièce musicale dans laquelle elle a joué le rôle d’Esméralda durant deux ans en 1998, elle entonne Vivre et Ave Maria, et lance un message à son public tout neuf, «Mieux vaut s’aimer que faire la guerre». Une heure trois quarts de nostalgie, de reprises entraînantes anglo-saxonnes des années 80, de messages, de calembours, de jeux de lumières, d’applaudissements à tout rompre, et de bis, mais aussi une chanson dédiée à la communauté arménienne (dont elle fait partie du côté de sa mère). Un peu tendue en début de soirée, la fille du Sud, de père italien, avoue simplement son trac à ce public tout neuf, puis se détend progressivement. «Aujourd’hui, on s’est apprivoisé, dit-elle, je reviendrai certainement», lance-t-elle à ses nombreux fans. Une soirée bonheur, une soirée nostalgie, une soirée inoubliable pour ces jeunes en délire qui ont écouté, chanté, dansé, allumé des briquets… et des cellulaires, applaudi à tout rompre, bissé leurs chansons favorites et hurlé des «Je t’aime Hélène». Deux retours sur scène pour la star, à la fois tendre et énergique, qui a fait chanter une salle surchauffée, assise par terre pour être plus proche de tous, et repris Elle tu l’aimes, avant de s’en aller à reculons, allumant son briquet, pour remercier ce public si chaleureux. «Au revoir mes petits amours… merci ktir», dit-elle en se retirant, sous les applaudissements.
Le week-end écoulé, au casino du Liban, Hélène Ségara a conquis le public libanais, dans une salle quasiment bondée. Un public jeune, composé majoritairement d’enfants et d’adolescents, qui ne s’est pas fait prier pour accompagner sa star dans une ambiance à la fois nostalgique et surchauffée. Tour à tour bohémienne, dans une jupe rouge flamboyante, sexy, en pantalon noir moulant, et romantique, en robe longue noire, Hélène Ségara a enflammé la salle en chantant l’amour, la séparation, la rupture. Sa voix, ses chansons, ses déhanchements, mais aussi ce contact si simple avec le public, qu’elle était heureuse «d’apprivoiser», ont fait passer à l’assistance une soirée inoubliable. Au programme, ses derniers tubes, comme Elle tu l’aimes, Tu vas me quitter, Il y a trop de gens qui t’aiment, Au nom...